Personne ne peut considérer comme anodin le fait que les autorités togolaises refusent de garantir le droit des populations à l’accès à l’information en empêchant certains médias indépendants comme le « Journal Liberté[1] » du Togo de faire des analyses et des recoupements. En tentant d’exiger la suspension de ce média en abusant des textes de Loi, le syst ème Gnassingbé fait preuve de non-transparence. Les journalistes indépendants au Togo doivent pouvoir faire leur travail sans peurs, sans intimidations, sans harcèlement, ni chantages[2], surtout lorsqu’ils défendent les intérêts des victimes du système Gnassingbé. Il y va de la liberté d’expression, et de la vérité. Le droit de réponse existe et doit être appliqué en toute transparence. A ce titre, les médias togolais indépendants sont régulièrement empêchés de participer à des « portes ouvertes » des prisons togolaises.