Sous l’ère Kaïs Saïed, la Tunisie est en train de basculer dans l’autocratie, le populisme et le racisme. Sur ce dernier aspect, l’artiste togolais Kokou Ekouagou lui oppose le vivre-ensemble.
Élu à travers un concours de circonstance, l’universitaire de 65 ans, considéré au début comme un homme politique intègre et atypique, Kaïs Saïed se révèle finalement être un président aux discours et méthodes très controversés.
L’homme fort de Tunis est en train de remettre en cause les acquis de la Révolution de 2011, ceux-là mêmes qui lui ont permis d’être porté au pouvoir, n’hésitant même pas à tenir un discours haineux et raciste contre les migrants originaires d’Afrique subsaharienne.
Sur ce dernier aspect, Kokou Ekouagou prépare un projet pour répondre en quelque sorte au président tunisien. Il tire son essence dans ce qu’il appelle « une unification vibratoire par le biais de l’art ».
En effet, détaille l’artiste plasticien, « Nous allons travailler sur la réunification par l’identité migratoire de l’aspect physiologique mental et idéologique et communiquer sur le brassage culturel entre les peuples à travers l’Art en racontant l’histoire des peuples pour mieux faire connaître les cultures à chacun ».
Celui qui est également consultant et manager culturel insiste sur « la similitude de lien qui lie tous les peuples par cette pratique spirituelle depuis l’Égypte antique noire qui s’est propagée à Cuba, au Brésil et même aux États-Unis après la déportation des esclaves au XVe siècle ».
Une manière pour M. Ekouagou de lutter contre la haine, la désinformation, le racisme et de sensibiliser l’ensemble de l’humanité sur le vivre ensemble. Le tout dans une démarche artistique conjuguant l’identité culturelle du monde la globalité évolutive.
Il faut toujours marcher dans les règles et la loi
Si tu sais qu’une personne ne souhaite pas ta présence chez lui, tu ne vas pas chez lui. Si quelqu’un a une attitude raciste, tu lui rend la pareille dans les milites de tes moyens. Dans notre situation, je ne vois pas ce que les nôtres vont aller chercher dans ces pays pauvres et surpeuplés du Maghreb !
Respectes – toi, et l’autre n’aura pas d’autre choix que de te respecter.
J’ai dit.
Mêle toi de tes oignons et de quelle révolution tu parle ,de la révolution de merde en plus nous voilà envahi par des immigrés clandestins et la majorité du peuple tunisien réclame leurs extradition donc le président de la République ne fait que rependre a la demande du peuple
les maladies et les guerres sont nées dans les pays tel que le votre … mêle toi de ton pays mieux que regarder dans l’assiette des autres