C’était l’un des sujets phares au menu des travaux de la 10eme session du Cadre Permanent de Concertation (CPC). Il s’agit de la reprise de l’opération du recensement électoral dans la zone 1. Seulement, le régime oppose un refus à cette demande de l’opposition et avance des arguments.
C’est une évidence. Le recensement dans la zone 1 a été un véritable fiasco. Même le gouvernement a déploré les dysfonctionnements constatés au cours de l’opération. Des partis de l’opposition ont souhaité la reprise du recensement électoral dans cette zone qui regroupe les communes des Lacs, du Bas-Mono, de Vo, de Zio, de Yoto, d’Avé, d’Agoè-Nyivé et du Golfe.
Au cours des travaux de la 10e session du Cadre Permanent de Concertation (CPC), le sujet a été remis sur la table. Mais comme on pouvait s’y attendre, le régime s’est encore montré inflexible. Il a opposé un refus à cette demande de l’opposition.
« Je prends part à la 10e session du cadre permanent de concertation. Mercredi, la session a porté sur le recensement. L’information majeure que je peux vous donner est que le recensement ne sera pas repris dans la zone 1. Le ministre chargé de l’administration territoriale nous a fait le point des chiffres provisoires du recensement, en attendant les chiffres définitifs de la CENI et l’audit du fichier par la francophonie », renseigne le député Gerry Taama sur sa page Meta.
Selon ce dernier, trois raisons motivent ce refus du régime à reprendre le recensement dans la zone 1. La première, c’est qu’au-delà des irrégularités, le recensement de cette année a connu une progression d’environ 20% par rapport à 2020. La deuxième est que ce recensement a connu un nombre record de multiples enregistrements, des doublons. La troisième raison est que s’il faut reprendre le recensement, il faudra le faire partout, sans se focaliser sur la zone 1.
« Le gouvernement a essayé de présenter comme argument les délais accordés, pour expliquer qu’ils étaient suffisants pour se faire recenser, mais au même moment, il y a eu des pénuries de cartes dans plusieurs localités, et cet argument ne m’a pas convaincu », regrette le président du Nouvel Engagement Togolais (NET).
Faut-il le rappeler. L’opération du recensement démarré le 29 avril 2023 dans la zone 1 a connu une kyrielle de dysfonctionnements graves, au nombre desquels le retard considérable dans le déploiement des kits de recensement dans les centres d’enrôlement, l’état défectueux, vétuste voire obsolète de ces kits, (plus de 20 ans d’âge parfois) avec des ordinateurs et des imprimantes mal initialisés et fréquemment en panne, des opérateurs mal formés, absents, ou en retard, ou qui désertent les sites avant l’heure réglementaire de fermeture, sans compter les pénuries des consommables (encre, formulaires, carburant, cartes, etc.) d’où la lenteur observée dans l’enregistrement des électeurs.
Il faut parfois plus de deux heures de temps sinon toute la matinée ou toute une journée pour obtenir sa carte d’électeur.
Le RPT/UNIR a finalement réussi à phagocyter le CAR avec ses espions.
Voila ce que ca donne qd on a des négrillons incultes et sans vision tels Agboyibor, Gilchrist, Fabre, Édem Kodjo, Gnininvi à la tête des partis politiques togolais.
Des gens qui pensent qu ils sont éternels et au lieu de suivre le chemin de la sagesse et de l intelligence en organisant une passation de pouvoir en ordre à un membre compétent et fidèle de leur vivant veulent mourir à la tête du parti laissant ainsi après leur mort une porte ouverte à toutes sortes de manipulations de la part du régime genocidaire militaro tribal des Gnassingbe
Prochain partis qui seront phagocyté après le décès de leur chef seront l’ANC et l’UFC.
N’en parlons pas de la CPP d Edem Kodjo qui n existe plus que sur papiers depuis leur phagocytage par le régime genocidaire dictatorial des Gnassingbe porter par sa milice tribale dite FAT composée à 99% de frères et cousins et cousines du même village.