La dernière victoire triomphale des Eperviers au stade de Kegue a suscité une immense joie parmi les supporters, et à juste titre. En effet, il aura fallu patienter quatre longues années pour voir l’équipe nationale remporter un match officiel à domicile. Cependant, cette euphorie a rapidement été tempérée par des problèmes internes qui pointent du doigt l’urgente nécessité d’améliorations.
Tout d’abord, il est impératif de ne pas oublier les aspects moins reluisants de la situation actuelle. Alors que l’ancien capitaine, Emmanuel Adebayor, fait régulièrement sensation sur les réseaux sociaux et suscite des débats passionnés, un problème plus concret est passé inaperçu : les joueurs n’ont pas encore reçu leurs primes de victoire. En 2023, il est inadmissible que la gestion des primes demeure un sujet brûlant après les matches. Les autorités compétentes devraient prendre des mesures pour régler ce problème en amont.
Concernant ces primes, une autre inquiétude émerge au sein du staff. Il est troublant de constater que, bien que composé officiellement de 13 membres, seulement 10 d’entre eux ont été inclus dans le calcul des primes. Cette exclusion, qui affecte notamment l’attaché de presse des Eperviers et les deux intendants, menace la cohésion au sein de l’équipe nationale. Comment peut-on espérer une unité d’esprit lorsque les traitements au sein du staff sont inégaux ?
Il est indéniable que les médias ont joué un rôle crucial dans la promotion de l’équipe nationale, grâce à un attaché de presse dévoué et compétent. Si le service de presse est aujourd’hui performant, il est essentiel de lui accorder la reconnaissance qu’il mérite. Pourtant, il opère souvent dans des conditions difficiles, en l’absence de renforts.
Les défaillances logistiques, telles que les maillots oubliés à Lomé ou les passeports laissés à l’hôtel pendant les vérifications avant les matches, ont été évitées grâce au professionnalisme des membres du staff qui accomplissent ces tâches ingrates sans recevoir de primes.
Il est temps que ces problèmes soient résolus, et il incombe au plus haut niveau de s’en préoccuper. Il est impératif que la ministre des Sports et, idéalement, le Chef de l’État interviennent pour mettre fin à ces injustices. Ces hommes et femmes dévoués jouent un rôle essentiel dans la réussite de l’équipe nationale et méritent un traitement équitable.
Alors que les Eperviers se lancent dans une nouvelle campagne éliminatoire, avec l’objectif de briller et de préparer leur avenir pour la CAN 2025, il est crucial de régler toutes les questions en suspens et de s’occuper des réclamations financières en suspens. Ceci doit être fait en parallèle avec la prolongation du contrat du sélectionneur Paulo Duarte et de son staff. Enfin, il est impératif de prendre en considération la situation d’Emmanuel Adebayor, une véritable légende du football togolais qui continue de se demander comment servir son pays au mieux. L’image du pays est en jeu, et il est temps de prendre des mesures pour assurer la réussite à la fois sur le terrain et en coulisses.
4 bonne année sans victoire à domicile.Aujourd’hui une seule victoire à un match amical qui ne va rien apporter on fait grossir les têtes.Non arrêtez de grâce.Moi à la place de ces joueurs je vais dire non au prime pour simple raison que l objectif n est pas atteint./ .Soyons patriote au moins.On s en fous du du Togo c est pourquoi le Togo s en fous de nous
Kombate, ton maître, le parrain Faure Dracula zieux hooonnn de hibou GNASSINGBE et son gouvernement de mafieux, sont-ils patriotes quand il siphonnent les richesses de tous les togolais ??? Les joueurs méritent leur prime de victoire pour les encourager à continuer dans cette voie !!! CHOSE PROMISE, CHOSE DUE !!!
Le titre devrait être :des claquements de becs dans le nid des éperviers. Avec grincement des dents des dents il y’a anachronisme