« L’année 2023 sera également une année électorale », déclarait solennellement le Chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé, dans son allocution à la nation la veille du nouvel an 2023. Au crépuscule de ladite année, cette déclaration apparait substantiellement comme un vœu pieux.
Tous les acteurs politiques, exceptée, une frange de l’opposition togolaise qui estime que les élections constituent des farces, se sont mis en ordre de bataille dès l’entame de cette année 2023 après que le Chef de l’Etat lui-même a annoncé que des échéances électorales allaient s’y tenir. Concrètement, des élections législatives et régionales doivent respectivement renouveler les députés de l’Assemblée Nationale et élire des gouverneurs des régions administratives du Togo.
Dans la foulée, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) avait mis en branle sa machine d’enrôlement des électeurs dès le second trimestre de l’année, sans toutefois publier un calendrier pouvant situer les uns et les autres sur les étapes devant aboutir aux élections. Même face aux réclamations des partis politiques et des organisations de la société civile pour une reprise du processus d’enrôlement dans la zone 1 du pays où plusieurs citoyens n’avaient pas pu se faire inscrire sur les listes électorales, la CENI a tout simplement opposé une fin de non-recevoir. Ce refus avait donné l’impression d’un empressement à organiser des élections le plus tôt possible.
Cependant depuis plus de quatre (04) mois, le processus électoral semble avoir du plomb dans l’aile sans aucune explication de l’institution en charge de l’organisation des élections.
A moins de deux mois de la fin de l’année 2023, il parait de plus en plus illusoire de convoquer les électeurs togolais aux urnes avant le 31 Décembre. Certains députés de cette législature dont le mandat arrive à terme, évoquent d’ailleurs l’éventualité d’une prorogation de fait de leur exercice ; ce qui au demeurant constitue une énième entorse à la démocratie togolaise.
La candidature du president sortant Faure le tyran est inacceptable il ne peut etre un candidat a vie dans une Republique nous demandons a l’opposition togolaise le combat n’est plus la tenue des elections mais plutot la non candidature du Faure le jeune doyen des chefs d’etats de la sous-region…Nb .Le fameux regime sanguinaire de l’unir/Rpt sera next apres le Gabon des Bongo avec leur parti politique predateur le PDG… Aujourd’hui meme les militaries des FAT Forces Armees Tribales sont fatigues de la gestion criminel predaterice de Faire et son clan criminel de sang et economic il faut le changement au sommet de l’etat le Togo a besoin d’un president apres 59ans de la barbarie criminel sauvage de l’unir/Rpt aucun programme de developpement Sauf la confiscation du pouvoir par la violence la barbarie des FAT Forces Armees Tribales un regime de coup d’etat electoral..