Le regisseur de la prison civile de Lomé, Komla Kossi Didier est visiblement preoccupé par la surpopulation carcerale obrservée depuis quelques années au Togo.
En lieu et place d’un projet de construction de nouvelles prisons suggérées, ce dernier propose d’autres solutions, notamment l’introduction des peines alternatives.
Et ces peines alternatives sont entre autres des travaux d’intérêt général pour certains détenus condamnés à des peines légères et des remises de peines pour bonne conduite à d’autres.
Selon la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), “le taux de détention provisoire est de 63% par rapport à la population carcérale globale” au Togo. Une situation qui a induit un nombre pléthorique des détenus dans les maisons d’arrêts du pays.