Togo – Grève annoncée dans la zone franche
Une vague de grèves s’annonce dans les sociétés de la zone franche du Togo, à l’appel des travailleurs soutenus par…
Une vague de grèves s’annonce dans les sociétés de la zone franche du Togo, à l’appel des travailleurs soutenus par…
Face à la dérive autoritaire du régime en place au Togo, la Diaspora Togolaise d’Allemagne (DTA) lance un appel solennel…
A Monsieur le Président Monsieur le Président, je sais et vous aussi, vous savez que vos lobbies ont dépensé notre…
Le dernier grand soulèvement populaire des années 2017-2018 qui a provoqué le séisme politique au sein du pouvoir cinquantenaire et la feuille de route de la CEDEAO ont contraint l’homme du 05 février à accepter le retour à la limitation de mandats présidentiels après trois quinquennats passés au sommet de l’Etat. Et pour s’assurer d’une vie paisible après le pouvoir, le prince s’est taillé l’article 75 qui précise : « Les anciens Présidents de la République sont, de plein droit, membres à vie du Sénat. Ils ne peuvent être ni poursuivis, ni arrêtés, ni détenus, ni jugés pour les actes posés pendant leurs mandats présidentiels ». Naturellement, cette disposition a fait penser au commun des mortels que jusqu’en 2030 au plus tard, au terme de ses deux mandats supplémentaires ajoutés aux trois précédents, le président Faure Gnassingbé serait enfin repu des 25 années de règne pour enfin prendre sa retraite avec toute la protection garantie par l’article 75.
Le gouvernement togolais renforce sa lutte contre les violences sexuelles en milieu scolaire avec une application stricte d’une nouvelle législation. Désormais, les auteurs de viols risquent entre 10 et 25 ans de prison, peine portée à 30 ans lorsque la victime est mineure.
Depuis Paris, le mouvement Freedom Togo – Mouvement de Libération Nationale (MLN) s’oppose à la proposition de confier à Faure Gnassingbé la médiation entre la RDC et le Rwanda. Dans un communiqué publié en date du 9 avril 2025, le mouvement, dirigé par Kofi Yamgnane, fustige une tentative jugée “scandaleuse” et “discréditante” pour l’Union Africaine, rappelant les atteintes graves aux droits humains et à la gouvernance démocratique au Togo sous le régime Gnassingbé.
C’est vrai, l’Alliance des États du Sahel (AES) est loin d’être un havre de prospérité économique et politique. D’ailleurs, ses détracteurs ne cessent de rappeler les conditions de vie difficiles, la cherté des produits de première nécessité, les restrictions qui pèsent sur les libertés des individus, des hommes politiques, des journalistes etc. L’absence d’élections démocratiques y renforce le tableau d’une gouvernance autoritaire, nourrissant les critiques et les comparaisons avec le Togo. On s’empresse d’assimiler les deux situations: pas d’élections libres, des libertés réduites, une économie sous pression. Autrement dit, l’AES et le Togo, c’est du pareil au même.
Dans un communiqué officiel, le ministre des Ressources halieutiques, animales et de la réglementation de la transhumance, Yark Damehame, a rappelé que seuls les professionnels agréés sont autorisés à manipuler et à vendre ces produits. Il appelle les éleveurs à s’approvisionner exclusivement auprès de points de vente reconnus et à signaler toute activité suspecte.
6,2% c’est la croissance économique attendue par le Gouvernement togolais en 2025. Un chiffre qui frise l’insolence dans la conjoncture…
Le Patronat de la Presse Togolaise (PPT) s’insurge contre l’interpellation “musclée” du journaliste Albert Agbeko à Tsevié, alors qu’il couvrait une opération de révision des listes électorales. L’organisation condamne fermement cet acte qu’elle qualifie d’atteinte grave à la liberté de la presse et appelle les autorités togolaises à garantir la sécurité des journalistes sur le terrain.