Epidémie de Mpox – L’Ouganda enregistre trois nouveaux cas
Le ministère ougandais de la Santé a annoncé la détection de trois nouveaux cas de mpox, portant à cinq le nombre total de cas confirmés dans le pays.
Le ministère ougandais de la Santé a annoncé la détection de trois nouveaux cas de mpox, portant à cinq le nombre total de cas confirmés dans le pays.
À l’évidence, face aux défis de l’heure, en l’occurrence le marasme économique et le flou institutionnel instauré dans le pays, la seule préoccupation de Faure Gnassingbé est la sauvegarde du pouvoir. Pour ce faire, il a décidé de continuer à s’entourer de ces personnes qui l’aident à protéger son bien le plus précieux. Elles sont systématiquement présentes au gouvernement depuis près de 20 ans, malgré leur incapacité notoire à répondre aux besoins les plus élémentaires des populations.
Dans une récente déclaration, Iréné Agossa a fermement soutenu la position du gouvernement béninois sur l’arrestation de Steve Amoussou à Lomé, un citoyen béninois résidant au Togo. Selon lui, les allégations de kidnapping sont totalement infondées.
Jeudi, un car en direction de Bamako a percuté un semi-remorque venant en sens opposé, entraînant la mort de quatorze personnes et 29 blessés, dont neuf cas graves.
Une caractéristique principale du Togolais aujourd’hui, c’est qu’il ne trouve sa valeur que dans le pouvoir, la puissance, l’exercice de la violence sur autrui. Cela s’appelle la volonté de puissance. On le voit quand il bombe le torse lorsque vous l’appelez avec le surnom ‘‘Autorité’’, même en vous moquant.
D’ici 2030, plus de la moitié de la population mondiale vivra dans des pays où l’accès à des données fiables sur la qualité de l’eau est insuffisant, mettant en péril la gestion durable de ces ressources essentielles., selon un rapport de l’ONU Environnement du 27 août 2024.
Jean-Pierre Fabre, maire de Golfe 4 à Lomé, a lancé un appel pressant au chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé, sollicitant des grands travaux pour assainir les abords de la lagune et prévenir les inondations récurrentes.
Alors que les inscriptions pour la rentrée académique 2024-2025 à l’École Nationale d’Administration (ENA) du Togo sont ouvertes depuis quelques jours (du 26 août au 20 septembre), l’institution fait face à un paradoxe. Si l’ENA continue de susciter fascination et espoir chez les aspirants fonctionnaires, la réalité à l’intérieur de cette institution, qui se veut être le pilier de la formation des cadres administratifs du pays, est loin de répondre aux attentes.
Le Togo se singularise par la fantasmagorie qui caractérise sa gestion. Au fil des ans, la Terre de nos Aïeux devient une curiosité dans la sous-région avec ses avatars. A ce jour, les retards chroniques du pays dans presque tous les domaines ne sont plus à démontrer. Certains pensaient à bon aloi que l’élan et les coups d’éclats dans l’évolution des voisins immédiats allaient toucher l’égo et la conscience de ceux incarnent le pouvoir au Togo. Malheureusement, la situation s’empire au point où les maigres acquis démocratiques se sont rétrécis comme la Peau de Chagrin.
Les communes de Cinkassé 1 et Tandjouaré 1, dans le nord du Togo, intègrent pour la première fois la prévention de l’extrémisme violent dans leurs Plans de Développement Communaux (PDC), grâce au soutien de Plan International Togo et de l’Union européenne.