Manifestations : Les Togolais fustigent l’appel des chefs d’Adakpamé
L’appel des chefs traditionnels du Grand Adakpamé, qui ont exprimé mardi leur opposition à toute manifestation « non autorisée » sur leur…
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L’appel des chefs traditionnels du Grand Adakpamé, qui ont exprimé mardi leur opposition à toute manifestation « non autorisée » sur leur…
L’ Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) a réagi à la suspension des médias français RFI et France 24 par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC). L’organisation accuse les autorités de chercher à détourner l’attention populaire en jouant la carte du « faux panafricanisme ».
À travers un communiqué publié ce mardi, les organisateurs de la Conférence MANSSAH ont annoncé le report de l’événement initialement…
Amnesty International has called on Togolese authorities to investigate allegations of torture and ill-treatment against protesters arrested during early June…
Les autorités traditionnelles rappellent également que « toute personne résidant sur le territoire du Grand Adakpamé et désireuse de participer à des manifestations non autorisées est priée de le faire sur son territoire d’origine. »
Le 16 juin 2025, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) du Togo a suspendu RFI et France 24 pour trois mois, invoquant des raisons de « stabilité institutionnelle » et d’« image du pays ». L’universitaire et activiste Ayayi Togoata Apédo-Amah dénonce cette décision qu’il juge arbitraire, antidémocratique et symptomatique d’un régime autoritaire cherchant à museler la voix du peuple et des médias indépendants.
Dans un communiqué, le front « Touche pas à ma Constitution » dénonce la détention de l’artiste Aamron dans un…
« Sans vie » de Tové, ce devrait être le véritable nom du premier Président de la Ve République nommé…
Comparaison n’est pas raison. Mais ce qui se passe au Togo est un véritable cas d’école qui justifie amplement le ras le bol généralisé dans le pays. On souffrait déjà sous Faure Gnassingbé en 2016 lorsque Patrice Talon a succédé à Yayi Boni au Bénin.
À un mois des élections municipales prévues le 17 juillet, la Cour suprême du Togo a tranché : sur les 520 listes soumises, 494 ont été validées et 26 rejetées pour non-conformité aux dispositions légales.