ACTUALITES Politique Togo

Togo-S.O.S pour le prisonnier politique Jean-Paul Oumolou détenu au SCRIC

Depuis la rocambolesque arrestation aux allures d´un kidnapping de notre compatriote de la diaspora suisse et membre influent de la DMK (Dynamyque Monseigneur Kpodzro) Jean-Paul Oumolou le 04 novembre 2021, beaucoup de Togolais, aussi bien au pays que dans la diaspora se sont exprimés dans la presse comme à travers les réseaux sociaux pour dénoncer un acharnement du régime de dictature contre tous ceux qui pensent autrement et demander sa libération. Dès son arrestation il fut incarcéré et détenu dans ce lieu peu conventionnel dénommé SCRIC (Service Central de Recherches et d’Investigations Criminelles). Et nous apprenions que 4 (quatre) chefs d´accusation auraient été retenus contre Jean-Paul, à savoir:

OPINIONS Politique Togo

Togo-Maintien des prisonniers politiques en détention : « Force à la loi » ou quand le régime est pris au piège de l’impasse judiciaire

« Ne constituent pas une cause d’exonération le fait d’avoir obéi aux ordres d’un supérieur ou d’une autorité publique en commettant les actes de torture et les autres mauvais traitements, ni le fait que ceux-ci aient été justifiés par des circonstances exceptionnelles, notamment un état de guerre, une menace de guerre, l’instabilité politique intérieure ou toute autre situation exceptionnelle ». Article 206, Loi N° 2015-10 du 24 novembre 2015 portant nouveau code pénal togolais.

ACTUALITES PAYS Politique Société Togo

Libérer les Prisonniers Combattants de la Liberté et de la Démocratie : Mettre Fin à l’Autocratie et à l’Inhumanité du Système Gnassingbé au Togo

De père en fils[1], ce depuis 1967, le trait commun du système Gnassingbé, outre le fait de bénéficier de l’appui de la France politique et d’un patronat françafricain, repose sur la gouvernance de l’arbitraire, l’intimidation et le silence imposé aux voix de contestation du système. Les résultats se déclinent en nombre de morts, de blessés, de prisonniers, politiques ou pas, avec ou sans jugement, et surtout un renforcement nauséabond des privations des libertés et des droits des citoyens