L’ÉCONOMIE AMÉRICAINE SUR UNE CORDE TENSIONNÉE
L’Amérique se trouve aujourd’hui au moment le plus critique de son histoire moderne. Elle est menacée d’un effondrement qui, s’il se produit, entraînera la majeure partie du monde dans sa chute.
L’Amérique se trouve aujourd’hui au moment le plus critique de son histoire moderne. Elle est menacée d’un effondrement qui, s’il se produit, entraînera la majeure partie du monde dans sa chute.
L’Afrique a connu plusieurs étapes de transformations; elles se sont déroulées sous différentes formes: traite négrière, colonisation, décolonisation, indépendance et néocolonialisme… etc. Nous pouvons dire sans jeux de mots qu’il n’y a pas eu réellement d’évolution et nous vivons toujours dans le temps des plantations. L’Afrique n’a pas de droit, le présent et le futur du continent Africain sont précaires, incertains. Après avoir acquis l’indépendance il y a presque 70 ans l’Afrique demeure un continent très riche mais très pauvre en infrastructure, tout est archaïque, insalubre. Sur les visages de nos pauvres mères et pères on voit que le crépuscule s’assombrit, l’avenir meilleur est très lointain.
Dès le jour de sa signature, le 22 juillet 2022, au jour de son arrêt à la suite de la non-reconduction, le 18 juillet 2023, « l’Accord céréalier » a été exécuté par la Fédération de Russie à la hauteur de 100% de ses engagements.
Les français auraient-ils aimé voir l’armée nazie allemande patrouiller dans les rues de Paris en 2023?
La démagogie consiste à exonérer la cognée de la hache au détriment du manche. Les dirigeants dictateurs et autres faux démocrates sont-ils innocents ? Et les États-Unis auxquels la France est inféodée ? Et le Royaume uni ? Et l’Union européenne ? Et la Chine et la Russie ? Devons-nous oublier toutes ces puissances impérialistes dont la France est devenue le cache-sexe malodorant ? Dans les pays africains anglophones, les peuples sont aussi sinistrés. Au Ghana ou au Nigeria, les douaniers, les flics, les hôteliers et les commerçants exigent des voisins africains des francs CFA à la place du cedi et du naira. Quel désaveu de leur monnaie qui ne valent rien !
Et après le bouc émissaire ? Que faire ? Peu de gens sont focalisés sur l’après-bouc émissaire. C’est d’autant plus évident que les militaires putschistes sont arrivés au pouvoir les mains nues, sans aucun projet de développement. Ils vont s’y éterniser comme dans les années 1960-1990 et devenir des cauchemars à l’instar des civils qu’ils ont chassés.
Notre pays ne peut plus prendre le risque d’organiser des élections biaisée à la suite desquelles le ou les vaincus sont proclamés vainqueurs par, en premier, une CENI de bande organisée et, ensuite, par une Cour constitutionnelle dont les juges, peu recommandables, se permettent de rafistoler gauchement et bêtement les chiffres déjà mal famés annoncés par la CENI.
Le mépris et l’immoralité, jumelés à une profonde hypocrisie, devenus des normes dans le monde politique actuel – on les retrouve pleinement aujourd’hui dans le cadre de l’une des plus importantes machinations de la dernière décennie organisée par les décideurs du monde Occidental : « l’Initiative pour le transport sécuritaire des céréales et des aliments à partir des ports ukrainiens », plus communément connue comme « l’Initiative céréalière de la mer Noire » ou « l’Accord céréalier ».
Faure Gnassingbé est au pouvoir depuis presque deux décennies, à la suite de la mort de son père en 2005, après avoir piétiné un tapis de cadavres. A moins de deux ans de la présidentielle, prévue entre février et avril 2025, ses partisans claironnent déjà fièrement qu’il peut encore s’octroyer cinq années supplémentaires. Habile manœuvre, alors que la concentration des pouvoirs est passée progressivement entre les mains de l’Exécutif.
L’obligation de disposer d’un visa pour entrer en Tunisie sera bientôt de retour en Côte d’ivoire. C’est la solution que évoquée par les autorités ivoiriennes pour arrêter le flux migratoire d’ivoiriens qui tente l’aventure européenne via la méditerranée en passant par la Tunisie.
Edith Gingras, la Directrice régionale Afrique et Moyen-Orient du Centre parlementaire canadien, a été reçue ce jeudi 28 septembre par la Présidente de l’Assemblée nationale au siège de l’institution à Lomé.