Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), les deux hommes, avec un apprenti chacun, avaient quitté le 17 avril dernier Ouagadougou, la capitale du pays. Ils se rendaient à Dori, « où ils devaient faire le dépotage dans une station d’essence », lit-on.
Cette fois-ci, c’est le poste de police de Namissiguim, dans la région du Centre-nord du Burkina Faso, qui a été la cible des individus armés non identifiés.
Les soldats, indique les mêmes sources, étaient en route vers le site minier de Taparko.
Ces hommes armés non identifiés étaient venus à moto. D’abord, ils ont ouvert le feu sur le bureau de police. Ensuite, ils ont incendié l’intérieur du bâtiment avec tout ce qu’il contient.
Un bilan provisoire fait état de 12 militaires et 04 Volontaires pour la défense de la patrie tués, ainsi qu’une vingtaine de militaires blessés. En plus des dégâts matériels.
D’autres enfants malades présentes les signes de la maladie dont quelques-uns des symptômes sont les maux de tête, la fièvre, la raideur du cou.
En service à Yalgo depuis 8 ans, la religieuse de la communauté des sœurs marianistes de Sainte Croix de Yalgo a été amenée vers une destination inconnue.
Selon l’Agence d’information du Burkina, le procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Tenkodogo, Charles Coulidiati, a annoncé hier mardi 5 avril l’arrestation de 31 personnes sur une cinquantaine recherchée.
Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), plusieurs personnes ont été auditionnées dans la journée de lundi 4 avril 2022 par le commissariat central de police de Tenkodogo. On retrouve l’ancien maire de Beguedo, Noro Bara, parmi les personnes auditionnées par
Au total, neuf maquis et bars ont été incendiés par des fondamentalistes. Ils avaient, quelques jours plutôt, voulu le départ des filles qui travaillent dans ces lieux. Avant de revenir mettre le feu à ces endroits.
