« Une façon pour eux de faire respecter leur mot d’ordre de boycott de la rentrée scolaire et de fréquenter les établissements scolaires publics. Ce mot d’ordre de boycott a été lancé depuis le mois d’octobre 2016 et est repris chaque année à l’approche de la rentrée scolaire fixée par le gouvernement de la République ».
Elles ont « rejoint leurs domiciles » mercredi soir, selon les déclartions du préfet Simon Emile Mooh, relayées par journalducameroun.com. A en croire le eprésentant du pouvoir central, leur libération a été obtenue contre zéro rançon.
Selon journalducameroun.com, l’attaque est survenue mardi dernier dans la localité de Mbongue, région du Sud-Ouest au Cameroun. Deux soldats de l’armée régulière ont péri dans l’explosion.
Selon cette source, les hommes armés non identifiés ont d’abord attaqué le poste de gendarmerie qu’ils ont ensuite incendié. Un premier bilan fait état de huit (08) soldats tués et deux (02) autres blessés.