Après l’échec de 28 dialogues politiques au cours des 40 dernières années au Togo, l’absence de résultat de la médiation togolaise au Mali, suite aux sanctions illégales de l’UEMOA et de la CEDEAO contre le Mali, et condamnées par la Cour de Justice de l’UEMOA, des critiques se font jour dans les rangs du parti politique UNIR (Union pour la République) pour s’interroger sur la crédibilité de leur Président Faure Gnassingbé quant à ses chances de succès en tant qu’initiateur unilatéral de « dialogues » ou de « médiation ». La géopolitique de la médiation de Faure Gnassingbé doit être clarifiée.
Comme lors de la première fois, le gouvernement a invité les partis membre de la DMK (Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (MPDD), la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), les Démocrates socialistes africains (DSA) et le NID), à prendre part la réunion, la deuxième en un mois.