La Cour de justice de l'espace communautaire va donner son avis sur la légalité ou non de la candidature de Faure Gnassingbé pour la présidentielle qui s'est déroulée il y a deux ans.
Elle reste dans la forme et la manière, l’une des élections présidentielles la plus discutée sur la « Terre de nos Aïeux ». Car, même lâché par certains de ses collègues de l’opposition, Dr Gabriel Agbéyomé Messan Kodjo, le leader de la DMK n’a cessé de crier sa victoire, refusant depuis plus de deux ans de concéder une quelconque défaite : « Je suis le seul président démocratiquement élu du Togo », martèle-t-il depuis le 22 février 2020. Aujourd’hui, les langues se délient. Est-ce le temps des regrets et de repentance, période ultime d’aveux ou de déblatérations après une sublime occasion gâchée ? Ce qui est constant, embusqué dans une mesquinerie indicible dont lui seul connait sans nul doute le secret, l’un des candidats de l’opposition à la dernière élection présidentielle s’ouvre dans une confession intime au champion de la DMK, Agbéyomé Messan Kodjo (AMK).
Dans leur tribune hebdomadaire « Cité au quotidien » de cette semaine titrée « Libres comme des oiseux en cage », Maryse Quashie et Roger Folikoue pensent que la DMK est en train d’entretenir de façon illusoire l’espoir chez certains citoyens, ses partisans.
Agbéyomé Kodjo, l’opposant togolais arrivé en deuxième position de l’élection présidentielle du 22 février n'est pas sous le coup de mandat d'arrêt international.
Depuis quelques jours, des rumeurs font état de la défection au sein de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK). En conférence de presse jeudi à Lomé, les responsables de ce regroupement politique ont apporté un démenti.