Cameroun, Bénin, Guinée-Bissau, Emmanuel Macron aura fait des heureux dans des palais présidentiels de ces pays, de par sa tournée en Afrique, la première de sa seconde mandature à l’Elysée. Ils seraient nombreux, ces dirigeants du continent à vouloir accueillir le dirigeant français, lorsqu’on sait la valeur généralement donnée à ces genres de visites. Parmi eux, sans doute le « Jeune Doyen ». Tout porte à croire qu’il est snobé malgré son statut de « Jeune Doyen » et tous ses efforts (sic) pour rentrer dans les bonnes grâces des décideurs du monde…
Après avoir nié devant Macron qu'il n'y a aucun prisonnier politique au Bénin, voilà le président Talon qui procède ce mercredi à la remise en liberté de 30 opposants arrêtés durant la présidentielle d'avril 2021.
Partons de ce principe simple qui veut que des pays n'aient que des intérêts à défendre, leurs atouts à vendre. Ainsi donc la tournée, cette semaine, du Président français Emmanuel Macron au Cameroun, au Bénin et en Guinée Bissau, vise essentiellement à commercialiser les atouts de la France en Afrique, à rafraîchir les deals séculaires scellés entre la France et ses colonies du continent, afin d'éviter toute tentative d'évasion des États africains vers d'autres prédateurs.
À l'initiative du député écologiste du Rhône, Hubert Julien-Laferrière, secrétaire de l'Assemblée nationale et membre de la commission des Affaires étrangères, 77 députés Nupes et Renaissance ont adressé une lettre, que nous nous sommes procurée, à Emmanuel Macron, au sujet de son déplacement au Bénin. Les parlementaires alertent sur « les dérives autoritaires » du chef d'État, ainsi que sur les conditions de détention de deux opposants, Reckya Madougou et Joël Aïvo.
Emmanuel Macron qui est à Yaoundé depuis lundi devrait passer deux jours à Cotonou avant une courte escale à Bissau. C’est sa première visite en Afrique depuis sa réélection en avril dernier. Le choix du Cameroun que dirige un despote nonagénaire depuis quatre décennies et du Bénin où Talon procède à l’abolition méthodique de la démocratie interpelle. Alors que la jeunesse africaine a signé un chèque en blanc à Macron en 2017, le président français se fourvoie entre égarement et inconstance.
Alors qu’il est attendu sur plusieurs sujets au sein de l’Hexagone, Emmanuel Macron, nouvellement réélu pour son second mandat, entame ce lundi 25 Juillet 2022 un séjour de presqu’une semaine sur le continent africain, précisément la partie occidentale. Qu’est-ce qui peut pousser le Chef d’Etat français à un tel périple ?
Ce que j´ai lu sur le site icilome le 1er juillet 2022 m´amène à me poser plusieurs questions sans réponse et pour cela, je m´adresse directement à l´intéressé, Monsieur Agbéyomé Kodjo à qui j´ai beaucoup du respect pour sa ténacité depuis 2020. Ce noble combat qu´il mène, doit être fait dignement et non à n´importe quel prix pour le peuple togolais.
Dans une série d’audios abondamment relayés sur les réseaux sociaux la semaine dernière, Agbéyomé Kodjo dans une colère noire s’en prenait à Emmanuel Macron.
Ça dégringole ! Macron n’a pas la majorité absolue à l’Assemblée nationale. Les partis d’opposition qui avaient fait campagne contre lui ne veulent pas former de coalition gouvernementale avec lui. Une position de principe facile à comprendre.