Développement agricole : la Banque mondiale prête à soutenir le pays avec près de 300 millions de dollars
Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé a reçu, ce 17 décembre 2024 à Lomé, Madame Marie-Chantal Uwanyiligira, Directrice des…
Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé a reçu, ce 17 décembre 2024 à Lomé, Madame Marie-Chantal Uwanyiligira, Directrice des…
Les Pères fondateurs de la République ont rêvé d’un avenir radieux pour Togo, notre nation, la chère terre de nos…
Trente-trois ou trente-cinq ministres pour une population de huit millions d’habitants et pour un territoire qui fait le dixième de la France, le sixième de la Côte d’Ivoire, c’est un problème, mais là n’est pas le vrai problème. Au point où on en est au Togo, un gouvernement d’un ministre, n’aurait pas été plus effarant. Ce qui importe c’est de savoir que le nouveau gouvernement est plus large que le précédent et de savoir ce qui en est la raison. Il ne s’agit pas simplement d’inviter plus de copains et de copines au festin, il s’agit d’élargir le cercle de la « Minorité pilleuse » afin d’agrandir le bouclier de défense contre un grondement populaire de plus en plus croissant et de plus en plus imprévisible.
Selon le communiqué officiel de la présidence togolaise, “la délégation a transmis au chef de l’État un message de fraternité et de solidarité de la part du Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré”.
Le pays est actuellement confronté à une multitude de défis qui menacent sa stabilité. De la vie chère à la récurrence des braquages, passant par la menace djihadiste au nord du pays, les nouvelles ne sont pas très rassurantes. Pour enfoncer le clou, certains parlent même d’un coup d’Etat qui aurait récemment échoué. Au vu de ces événements, beaucoup de Togolais se posent des questions sur l’avenir. Ils sont angoissés.
Le vendredi 16 février 2024, le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara a accueilli son homologue togolais, Faure Gnassingbé, en visite d’amitié et de travail en Côte d’Ivoire. Selon un communiqué de la présidence ivoirienne, les deux dirigeants ont discuté de la situation sociopolitique et sécuritaire dans la sous-région, soulignant la nécessité de « réévaluer les stratégies de gestion et de résolution des crises ».
Dans une correspondance datée du 22 janvier 2024, des représentants d’organisations de la société civile togolaise exhortent le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé à exercer judicieusement ses compétences constitutionnelles pour garantir la préservation totale de la liberté d’association au Togo.
Indiscutablement, la politique a quelque chose d’irrésumable, qui subodore qu’elle soit parfois inspirée par la grâce et la faveur de la Providence… Il y a dans la nomination du Grand Citoyen d’État, Pascal BODJONA comme conseiller spécial chargé des affaires politiques, une inspiration suprêmement lourde d’une clairvoyance qui, si elle n’est pas apparue dans l’ignée de son évidence politique à ceux qui ne voulaient pas l’admettre, n’a pas échappé au sens politique aigu et appréciateur du président de la République.
Une absence notoire d’ambition et de vision claire dans tous les domaines. Pendant que les pays voisins sont véritablement en compétition, le Togo se compare à lui-même. Une vision étriquée qui scelle le sort de ce pays pour un bon moment encore , malheureusement. Une nouvelle année avec les anciennes habitudes qui ne garantissent aucunement un lendemain meilleur.
Le chef d’État togolais est à la tête d’un régime dictatorial érigé contre le peuple. Imposé de l’extérieur, il s’est consolidé par la force des armes sur un territoire, en razziant les attributs du pouvoir d’État : un drapeau, un hymne, une armée clanique, la bourse des finances publiques. Il n’a jamais réussi à rallier le peuple qu’il a embrigadé par le mensonge, la violence et la fraude électorale. Il a pu cependant compter sur des partisans, des militants et des nervis, collaborateurs zélés de l’entreprise de mise à mort de la nation togolaise.