Le phénomène commence à inquiéter. Des rafles sont organisées dans la capitale togolaise par des éléments de la police de certains commissariats. Et contre la libération des personnes arrêtées, il serait réclamé 20.000 FCFA.
Cette semaine, la Direction Centrale de Police Judiciaire (DCPJ) a présenté une réseau de faussaires qui sévit depuis quelques temps dans la capitale togolaise. Ces derniers impliqués dans plusieurs affaires liées à l’escroquerie seront présentés devant la justice afin qu'ils répondent de leurs actes.