Dans un communiqué le Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et Collectif pour la Vérité des Urnes – Togo – Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) dézinguent le régime de Faure Gnassingbé. Les deux organisations exigent une clarification de la médiation du patron de Lomé II au Mali.
Après l’échec de 28 dialogues politiques au cours des 40 dernières années au Togo, l’absence de résultat de la médiation togolaise au Mali, suite aux sanctions illégales de l’UEMOA et de la CEDEAO contre le Mali, et condamnées par la Cour de Justice de l’UEMOA, des critiques se font jour dans les rangs du parti politique UNIR (Union pour la République) pour s’interroger sur la crédibilité de leur Président Faure Gnassingbé quant à ses chances de succès en tant qu’initiateur unilatéral de « dialogues » ou de « médiation ». La géopolitique de la médiation de Faure Gnassingbé doit être clarifiée.
Le Togo a vécu sous domination coloniale entre 1884 et 1960[1]. Avant cette période, l’esprit d’organisation de la cité qui animait chacun des ancêtres était fondé sur la vérité, la justice, la liberté, le vivre ensemble et la solidarité. Après, cette période, cet esprit a été rallumé avec l’avènement de l’indépendance du 27 avril 1960 sous le terme « Ablodè[2] » …
Dans un communiqué, le Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et le Collectif pour la Vérité des Urnes – Togo – Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) se prononcent sur la situation sociopolitique du pays. Ces deux associations invitent les Togolais à réorienter la lutte pour dégager le régime de Faure Gnassingbé. Lecture.
RCDTI et CVU-TOGO-DIASPORA lancent un appel à l’union pour une alternative politique, en précisant afin de lever toute ambigüité, que la démarche choisie exclut systématiquement les agents dépendants et/ou travaillant pour le système Gnassingbé, en réel ou en mystique.
Dans un communiqué adressé au peuple togolais et au régime de Faure Gnassingbé, des organisations des Togolais de la diaspora conscientes de la situation sociopolitique du pays, dénoncent les violations systématiques des droits humains au Togo et exigent la libération des prisonniers politiques. Lecture.
Le Peuple togolais ne peut rester en marge de la démocratie. Le marathon démocratique en cours depuis 55 ans doit prendre fin avec la vérité des urnes et des comptes publics. Si malheureusement, les représentants des partis politiques dits de l’opposition togolaise ont perdu leur crédibilité du fait de leurs agissements collectifs, il est possible de trouver une nouvelle dynamique au sein de la société civile, dès lors qu’elle est indépendante du système de Faure Gnassingbé, une organisation fondée sur la gouvernance de l’arbitraire et de l’abus de pouvoir.
Lors de la 76e assemblée générale des Nations Unies à New-York et face à tous les membres des Nations Unies, Faure Gnassingbé, en sa qualité de Président du Togo, a oublié de mentionner dans son allocution qu’il était un Président illégalement et anticonstitutionnellement désigné. A ce titre, il n’engage que lui-même et ses affidés et non le Peuple togolais. En effet, il a usurpé pour la quatrième fois consécutive, le pouvoir politique soit dans le sang, soit par la brutalité, soit par la contrevérité des urnes et soit enfin par un coup d’Etat constitutionnel fondé sur une cour constitutionnelle anticonstitutionnelle et illégale.
Le Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et le Collectif pour la Vérité des Urnes – Togo – Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) à travers un communiqué rendu public à la date du 07 août 2021, réclament "pour la énième fois, la libération sans condition et leur indemnisation pour préjudice subi, de tous les citoyens prisonniers politiques au Togo". Dans le cadre d'une action collective dans ce sens, les deux organisations formulent des recommandations et souhaitent l'adhésion des organisations confrères.