Plusieurs organisations de défense des droits humains au Togo unissent leurs forces pour exprimer leur vive préoccupation quant à la situation des prisonniers politiques dans le pays, en particulier leur état de santé. Les regards se tournent ces dernières semaines vers Yaya Souleymani.
Jeudi dernier, par décret présidentiel N°2022-109/PR en date du 31 octobre 2022, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé a accordé la grâce présidentielle à 364 prisonniers. Mais n’en déplaise aux admirateurs, cette remise en liberté des criminels de haut vol ne sera pas sans conséquences.
Le Comité pour la libération des prisonniers politiques du Togo (CLPPT) se dit préoccupé par le statut précaire de certains détenus politiques et surtout, ceux qui sont malades.