Sans disposer d’un mandat électif ou d’une nomination à quelque titre que ce soit, Franck Biya, est de plus en plus présent sur la scène politique publique du Cameroun. Connaissant les pratiques dynastiques des régimes sempiternels comme celui de Paul Biya, beaucoup d’observateurs semblent y voir une préparation à la succession de son père.
Quelques mois après son départ de la présidence, Noureddin Bongo Valentin est catapulté au sommet du PDG, un parti contrôlé par son père qui se trouve être également le chef de l’Etat.
Pour un certain nombre d’Ougandais, le président Yoweri Museveni se préparerait à laisser sa place à son fils en 2026. La démission de ce dernier de son poste de commandant de l’armée de terre s’inscrirait dans cette logique.
