L’écrivaine Florence Porcel accuse l’ancien célèbre présentateur de journal de TF1, Patrick Poivre d’Arvor. Elle porte plainte et sort un roman dans lequel elle parle de viol, d’emprise et de contrainte. L’accusé rejette catégoriquement toutes les accusations et porte plainte à son tour.
Début janvier. Le roman « Pandorini » est sorti. Son auteur Florence Porcel accuse le célèbre journaliste de viol, d’emprise ou de contrainte. Selon les informations, elle aurait assuré avoir été violée deux fois, en 2004 au siège de la télévision et en 2009 dans les locaux de la société de production A Prime Goup. Elle porte plainte contre son présumé violeur.
L’ex-présentateur de TF1 se défend, contre-attaque. « Il n’y a jamais eu aucune forme d’emprise, ni a fortiori de contrainte. Les écrits de Madame Florence Porcel que j’ai conservés, pour la plupart postérieurs à ses accusations, le prouveront amplement (…). De toute ma vie je n’ai jamais obligé quiconque à une relation sentimentale, ni bien évidemment à une relation sexuelle », dénonce-t-il, regrettant qu’elle utilise sa personne pour promouvoir son roman.
« La recherche de notoriété n’excuse pas tout. Pas davantage la fascination pour ce qui brille », insiste-t-il.
« J’entretenais jusqu’alors avec elle des relations confraternelles et partageais son goût pour la littérature. Plusieurs fois, je l’ai soutenue lorsqu’elle publiait des livres ou lors de ses démêlés avec des journalistes », fait savoir Patrick Poivre d’Arvor.
Pour lui, « la défense de la cause des femmes a toujours été un sujet de première importance », raison pour laquelle il vit « très douloureusement ces attaques ». Elles sont « insupportables » pour sa famille et son entourage, rappelle-t-il. Le journaliste est décidé à faire rétablir la vérité, lavant « son honneur ». Et porte plainte pour diffamation…