Un Groupement de Forces spéciales (GFS) a récemment été créé par décret. Cette unité qui sera dirigée par un officier supérieur, aura pour mission d’exécuter des opérations spéciales qui seront menées en dehors des cadres d’actions classiques et visant à atteindre des objectifs stratégiques ou opérationnelles, apprend-on de source gouvernementale.
Le GFS vient ainsi s’ajouter aux entités sécuritaires qui sont la Police et la Gendarmerie. Et beaucoup y voient la concrétisation de l’ambition qui est celle des autorités du pays de moderniser et de professionnaliser davantage les forces de défense et de sécurité. Et cela peut se comprendre dans la mesure où les djihadistes nourrissent l’envie de mettre la sous-région en coupe réglée. Que le Togo se dispose donc de ces GFS pour la bonne cause n’est pas une mauvaise chose en soi.
Mais ce n’est malheureusement pas là ce qui préoccupe le commun des Togolais. Le Togo dispose déjà d’unités spéciales d’intervention comme le Groupe d’intervention de la police nationale (GIPN), ou encore l’Unité spéciale d’intervention de la gendarmerie (USIG).
Quelle est l’utilité de créée encore un groupement de forces spéciales si on peut renforcer et mieux outiller les GIPN et autre USIG ? Qu’a-t-on besoin de faire la culture du sécuritaire dans une époque où le volet social doit prendre le pas sur aucun autre volet ?
Du train dont vont les choses, il faut croire que la proportion de militaires qu’il faut pour un pays dépassera largement la normale pour un pays avec une superficie pas si grande que cela. Le troisième mandat que le président lui-même a baptisé de mandat social n’a pas répondu aux attentes des citoyens toujours sur la paille.
Au lieu de se rattraper et faire de ce mandat de trop un mandat résolument social en mettant à la disposition du plus grand nombre des structures sanitaires viables et des opportunités d’emploi pour une jeunesse réfugiée dans l’informel malgré les diplômes obtenus, Faure Gnassingbé fait le pari de la sauvegarde de son régime en inventant des unités soi-disant pour exécuter des missions spéciales. C’est triste.
Source: Le Correcteur
 a récemment été créé par décret. Que le Togo se dispose donc de ces GFS pour la bonne cause n'est pas une mauvaise chose en soi. Mais ce n'est malheureusement pas là ce qui préoccupe le commun des Togolais.){kind=link}
Trop triste réalité on viee. Jusqu’à preuve du contraire l’USIG, et le GIPN font leur travail comme il se doit, même si on ne voit pas toujours leur efforts. Il vaut mieux vraiment renforcer ces deux là, que de créer un troisième qui ma foi quelque part fera presque le même travail que les deux plus haut mentionné. Que du cafouillage dans ce pays rectangle qu’est notre cher pays. Mandat social, riens e concret n’a été fait dans sa.
faut pas critiquer pour critiquer. vous reconnaissez que le djihadisme et le terrorisme frappe à nos portes. mais en même temps vous critiquez l’érection de cette unité. Je trouve juste que nous n’avons pas d’éléments suffisants pour savoir la mission réelle de cette unité
La création de cette unité est plus que nécessaire.nous devons être en mesure de contrer toutes les forces d’occupation quelque soit leur nature.Alors que le Togo ambitionne de devenir l’Israël d’Afrique en matière de sécurité et si possible de posséder le droit de veto réclamé par l’Afrique aux Nations unies, c’est normal que l’armée togolaise soit bien structurée et bien équipée.cette unité des forces armées togolaises aura une lourde mission .
Ne défions pas les djihadistes, des armées meilleures que les nôtres n’arrivent pas à y faire face, ce n’est pas ce petit pays qui en fera quelque chose, sinon nous n’aurons nos yeux que pour pleurer mais que Dieu nous en préserve. eh sacré togo toujours en déphasage par rapport à la réalité
Aucune armée ni police au monde ne peut se targuer de toujours pouvoir contrer une attaque terroriste. Ce genre de defense est de 2 types. Les renseignement et les unités d’urgence sanitaires.
Un pays se doit de se doter d’unité de soin d’urgence de pointe pour faire face a une attaque. La survie des victimes dépend de l’efficacité des interventions de secours qui permetent d’éviter le catstrophisme en ce qui concerne le bilan humain.
Rester ici a defendre l’indefendable. Ils ont dit qu’ils ot été a l’école mais connait pas papier. Zéro pointé.