« Les journalistes togolais meurent dans un dénuement total…», dixit Blaise Yao Amedodji

Mardi, le Directeur Général de la radio Taxi FM, Blaise Yao Amedodji alias Blaisot, dénonçait la désunion des professionnels des médias au Togo. Un facteur qui est à l’origine de nombre de maux dont souffrent les hommes et femmes qui appartiennent à cette corporation.

« Les journalistes togolais ne sont jamais ensemble, et je ne sais pas s’ils le pourront un jour (…) Nous tous on est inquiet qu’on n’est pas ensemble. Mais que faire ? Personne ne prend des dispositions ni des dispositifs pour que nous puissions vivre ensemble, chacun pour soi », s’est plaint Blaise.

Pour la circonstance, le journaliste tenait ces propos lors du lancement officiel de l’association Apprenons à vivre ensemble (AVE). Une structure qui entend lutter contre les maux qui minent la cohésion sociale sur le territoire togolais.

Étant lui-même professionnel de média, Blaisot n’est pas allé du dos de la cuillère pour dénoncer les travers de certains de ses collègues journalistes.

« Si c’est pour sacrifier l’autre pour que j’aie ma maison, ma voiture, le journaliste togolais est prêt à le faire. Des gens qui ont cette mentalité rétrograde et qui veulent gagner seuls, comment pourriez-vous vivre ensemble ? », a-t-il marqué.

Et de poursuivre : « Si nous les journalistes togolais, cherchons chacun pour soi, on ne pourra jamais évoluer (…) Les journalistes togolais meurent dans un dénuement total et ça n’émeut personne. C’est le jour d’enterrement ou à la veille funèbre que tu vois les gens compatir. Mais juste après, ils oublient pourquoi nous mourons dans le dénuement ».

Pour finir, Blaise Yao Amedodji a conseillé aux siens, l’union car dit-il, « pour gagner des batailles, il faut être uni ».

0 thoughts on “« Les journalistes togolais meurent dans un dénuement total…», dixit Blaise Yao Amedodji

    1. Oui cher compatriote, il faut plutôt dire: ” COMMENT LES JOURNALISTES POURRAIENT-ILS ÊTRE DIFFERENTS DES AUX CITOYENS TOGOLAIS ?”. Les togolais sont un peuple vraiment étrange, mauvais de la tête au pied, mauvais dans le coeur,mauvais dans l’âme !!! Les togolais méritent les analphabètes GNASSINGBE !!!

      1. Avec un raisonnement pareil, qui manque de respect aux Togolais, je préfère de loin les Gnassingbe😂

        1. Qui manque de respect aux togolais, qui manque de respect aux togolais… VOUS N’AIMEZ PAS QU’ON VOUA DISE LA VÉRITÉ !!! Le togolais est mauvais jusqu’à la moelle !!!

        1. Déjà le fait de dire la vérité que nous les togolais nous sommes trop mauvais, montre que je suis différent des autres togolais qui sont des hypocrites et menteurs!!! RECONNAISSEZ-LE !!! Sinon comment comprendre qu’une seule famille (GNASSINGBE) puisse prendre en otage pendant plus de 50 ans ce peuple fainéant qui ne réagit pas pour se libérer, à l’inverse des peuples frères d’Afrique!!! Nous méritons bien les analphabètes GNASSINGBE !!!

          1. A tort oui, les hommes et femmes qui jurent par Dieu tout le temps il faut s’en mefier, pareil pour celui-la qui pense etre si different des autres, je donnerais ma tete a couper que tu es pire que d’autres togolais. Se reconnaitre et s’ameliorer, un pas vers la perfection, et non jeter que du discredit a autrui. Levez-vous contre ce systeme, et nous autres suivrons

  1. C’est vrai que le constat de la division des hommes de médias n’aide pas beaucoup la corporation à faire des pas en avant. Au-delà des divergences d’opinion politique, les journalistes togolais devraient un tant soit peu comprendre qu’ils font le même travail celui d’informer, d’éduquer et de divertir les populations Togolaises, leurs différences au lieu de les divisés devaient être leur force pour avancer ensemble sur l’essentiel. L’essentiel à bien voir, c’est la promotion de la culture Togolaise et la consolidation des liens fraternels de solidarité dans cette noble corporation.
     

  2. En fait, le secteur de la presse n’est plus suffisamment rentable pour bien rémunérer les parties prenantes en raison du développement du digital gratuit mais aussi de la médiocrité de l’offre.

  3. Qu’ils meurent silence, surtout ceux qui ont passé leur vie à glorifier la dictature cinquantenaire. On va tous mourir un jour

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