Une semaine après le massacre du week-end dernier à Seytenga, dans le Nord du Burkina Faso, un groupe terroriste revendique l’attaque menaçant plusieurs autres localités d’attaques.
L’État islamique de la province du Sahel a revendiqué l’attaque dans laquelle 86 personnes ont péri à Seytenga, dans le Nord du Burkina Faso, dans la nuit du 11 au 12 juin 2022. La revendication a été faite « dans un audio non officiel ». L’information a été révélée samedi par MENASTREAM.
« Le porte-parole justifie l’attaque par la présence présumée de combattants volontaires (VDP), et mentionne également le village de Guessel où 20 personnes dont 8 VDP ont été tuées le 14 mai… », renseigne le groupe Conseil en recherche spécialisée sur la sécurité et les conflits au Sahel et en Afrique du Nord.
De plus, souligne cette source cette structure spécialisée dans la publication d’informations sur les attaques terroristes dans le Sahel, les terroristes menacent d’attaques contre les localités avec la présence des Forces de défense et de sécurité (FDS) ou de Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP).
Pauvre population: la seule solution est de prendre des armes pour se proteger soi-meme, les gouvernants n’ont plus le controle, ils sont depasses. Le coup d’etat n’a fait que fragiliser les institutions et par ricochet le systeme securitaire qui etait deja a ameliorer. Que veulent ces djihadistes enfin