La presse togolaise est en danger. C’est d’ailleurs une lapalissade. Pas besoin d’être un observateur avisé pour s’en rendre compte.
Sur son compte Facebook, Ferdinand Ayité du journal d’investigation et d’analyse « L’Alternative » a réagi à la nouvelle sanction de la Haut Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) contre le confrère « Liberté ». Pour ce Directeur de publication, la suspension de trois mois du Quotidien relève seulement du charlatanisme.
« De Yaoundé à Dakar en passant par Kigali pour Lomé, la presse indépendante est à l’agonie, sinon morte. Sur décision des pouvoirs politiques. La suspension de trois mois du Quotidien Liberté relève d’un charlatanisme juridique dont le Togo seul a le secret. Dans cette affaire, l’histoire retiendra que l’avocat attitré du journal est devenu l’avocat de la plaignante par solidarité préfectorale », regrette Ferdinand Ayité.
Et d’ajouter : « Au Togo, il n y a plus de limite à rien, les valeurs ont déserté la cité. Nous restons solidaires de nos confrères du Quotidien Liberté qui resteront trois mois à la maison sans travailler. Ainsi va la République ».
«… Dans cette affaire, l’histoire retiendra que l’avocat attitré du journal est devenu l’avocat de la plaignante par solidarité préfectorale », regrette Ferdinand Ayité.
qui était l’avocat du journal Liberté? humm, quel pays?
« … Dans cette affaire, l’histoire retiendra que l’avocat attitré du journal est devenu l’avocat de la plaignante par solidarité préfectorale », regrette Ferdinand Ayité.
le togo et le cameroun, 2 pays qui se ressemblent