L’Université d’Abomey-Calavi (UAC) a fait un pas décisif en ordonnant la restitution des bureaux occupés par les enseignants retraités d’ici le 27 décembre 2024.
Cette initiative vise à optimiser les espaces de travail et à améliorer les conditions de travail des jeunes enseignants. Une mesure saluée par les observateurs comme un acte de modernisation audacieux, témoignant de la volonté de l’UAC de mieux gérer ses ressources.
En revanche, l’Université de Lomé (UL) semble prendre du retard. Malgré les engagements de réformes sous la présidence du Professeur Adama Kpodar, l’UL n’a pas encore mis en place de mesures similaires pour améliorer ses infrastructures. Les jeunes enseignants de Lomé, souvent contraints de travailler dans des conditions précaires, attendent des actions concrètes pour leur permettre de travailler dans un environnement propice à l’enseignement et à la recherche.
Dans ce contexte, il est suggéré que le Président de l’UL s’inspire de l’exemple de l’UAC, en prenant des décisions pragmatiques pour améliorer les conditions de travail et offrir de meilleures perspectives aux enseignants et étudiants de l’université. Les défis sont nombreux, mais la modernisation de l’Université de Lomé pourrait être un levier majeur pour sa réussite à long terme.