Exceptés l’accusé Ousmane Sonko qui est resté à Ziguinchor et ses avocats qui ont dû quitter la salle d’audience après rejet de leur demande de report, tous les autres acteurs de ce procès ont passé toute la nuit du 23 au 24 Mai 2023 à la salle 4 du Tribunal de Dakar. C’est aux environs de 3 heures du matin que la réquisition du procureur est tombée : 15 ans de réclusion criminelle pour viols ou 5 ans d’emprisonnement ferme pour corruption de la jeunesse contre le principal accusé.
Dans sa robe rouge, Adji Sarr est revenue sur le fonctionnement du salon Sweet Beauty, qualifié de « lieu de débauche » par la partie civile, expliquant les différents types de massages comme le body-body où le client et la masseuse sont nus. La jeune femme a ensuite décrit en détails les viols répétitifs qu’elle explique avoir subis entre décembre 2020 et début février 2021. « Il m’a prise de force […] je n’ai rien dit, car j’avais peur », témoigne-t-elle d’une voix calme et détachée.
Une version contredite par Ndeye Khady Ndiaye, la gérante du salon, qui est accusée de complicité de viol. « Adji Sarr ne m’a jamais dit qu’elle se faisait violer dans mon institut, j’aurais tout fait pour la protéger », assure la patronne qui s’est retrouvée sans ses avocats à la barre, tous partis à la mi-journée après le rejet de leur demande de report d’audience.
Maître El Hadj Diouf, avocat d’Adji Sarr, a accusé Ousmane Sonko de chercher à « fuir la justice » : « Notre pays, le Sénégal, vient aujourd’hui de tenir un procès capital pour son avenir, pour sa stabilité et c’est Sonko lui-même qui disait qu’il était pressé d’aller au jugement ! De quoi a-t-il peur ? Mais de la vérité ! Mais malgré tout, l’audience s’est déroulée. Je ne suis pas totalement satisfait par le réquisitoire du Parquet. À présent, de bien développer les arguments qui plaident en faveur d’une condamnation pour viol. Si le Parquet vient, essaye de couper la poire en deux en disant : si vous n’êtes pas convaincus par le viol, retenez la corruption de la jeunesse, non, cela ne me parait pas véritablement rigoureux. »
Avec la correspondante RFI à Dakar
On se demande si ces juges ont une conscience humaine. Une prostituee dit qu’elle a ete violee dans son lieu de traivail et elle a ete bien paye pour service rendu. On condanme le client a cette lourde peine!!!
Les femmes savent bien ce qu’elle font ! Une jeune femme adulte est employée à déshabiller des hommes pour les masser. Elle même est supposée être nue. De qui se moque t – on en parlant de viol. Bref, on a affaire à une petasse menteuse exploitée par une justice de nègre pour empêcher un homme de postuler la magistrature suprême au Sénégal. Il y a mieux ! Au Togo on le zigouille.
Adji Sarr est une prostitue, on ne peut pas l’envouloir pour ca. C’est son travail et son gain pain. Ce ne sont pas toutes les femmes qui sont comme elle. Le probleme ici c’est le Procureur. Dire que ce monsieur a fait de hautes etudes de magistratures mais se laisser manipuler par les politiciens ainsi est pitoyable. Condamner Le Maire Songo a une tres lourde peine dans cette affaire est vraiment ridicule et tarnise l’image de la justice Senegalaise voire celle de l’Afrique noire.
C’est comme tu condanmes un boxeur professionnel qui a gagne son adversaire dans le ring et ce dernier va porter plainte pour coup reçus durant le combat.
Sais-tu que Sonko voulait trouver un accord avec cette pu.te mais que cette dernière aurait été manipulée par le pouvoir de Macky Macaque Sall pour écarter Sonko de la course à la présidentielle ??? Mais ce n’est pas pour autant que Macky Macaque Sall, le pion de la Françafrique a jla voie libre!!! Les sénégalais vont le maraber !!!
il n’a jamais engagé une négociation