Togo- Le Col Amana à la tête de la Gendarmerie nationale
Le Lieutenant-Colonel Massina Yotrofeï n’est plus le Directeur Général de la Gendarmerie nationale togolaise. Il a été remplacé par le Colonel Kodjo Amana.
Le Lieutenant-Colonel Massina Yotrofeï n’est plus le Directeur Général de la Gendarmerie nationale togolaise. Il a été remplacé par le Colonel Kodjo Amana.
Par un dimanche ordinaire, le « professeur-président » a été déposé par le légionnaire qu’il était allé lui-même chercher à l’étranger, pour créer des forces spéciales censées le protéger des aléas du pouvoir. L’histoire dira si Alpha Condé a été meilleur ou pire que Sékou Touré et Lansana Conté, les deux premiers présidents de la Guinée, sur le dos de qui il s’était bâti, à bon marché, une réputation d’opposant et de démocrate.
La connexion mauvaise entre New World TV et Canal + Afrique. La chaîne togolaise vient d’attaquer Canal+ Afrique pour diffusion illégale de ses images.
Le peuple Gnigblin de Togoville vient de décerner au Front citoyen Togo Debout (FCTD) et les Universités sociales du Togo (UST), un prix de gratitude pour leur « dévouement au développement de la cité de Togoville ».
Dans une analyse assez scientifique de la décision de suppression des frais d’inscription et de scolarité au cycle secondaire prise par le gouvernement, l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI) relève le manque à gagner et autres problèmes que cette mesure entraîne au niveau des établissements scolaires. Le parti du Prof Aimé Gogue l’assortit de propositions de mesures d’accompagnement qu’il trouve adéquates pour juguler le problème. Bonne lecture.
La vaccination contre le coronavirus serait-elle devenue obligatoire au Togo? En tout cas, les dernières mesures du gouvernement en disent long. Au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et à toutes les directions et institutions sous sa tutelle, on donne des deadlines au personnel pour se faire vacciner contre la Covid-19.
Malgré, le processus de démocratisation enclenché en 1990, le putsch, un mal qui sévit depuis les Indépendances, reste d’actualité en Afrique de l’Ouest. En 30 ans, l’Afrique de l’Ouest a connu plus de 25 coups force ou tentatives de coups de force. Considéré à juste titre comme une entorse au processus démocratique, le coup d’Etat est désormais accueilli avec des critiques moins virulentes qu’il y a quelques années.
On l’a annoncé en début de semaine, la société Bolloré Africa Logistics, ensemble avec Getma, Necotrans et Manuport a été condamnée par la Cour commune de justice et d’arbitrage (CCJA) basée à Abidjan. Après la confirmation de cette énième condamnation, à quelle autre institution Me Wle-Mbanewar Bataka et son client Charles Gafan, PDG de la société Bolloré Africa Logistics pourront-ils s’adresser pour faire encore repousser l’évidence ?
Dans un communiqué dont copie nous est parvenue, la Convention Démocratiques des Peuples Africains (CDPA) a réagi par rapport au coup d’État militaire en Guinée.
La loi fixant les conditions d’exercice de la liberté de réunion et de manifestations pacifiques et publiques sera bientôt revue. A la suite des conclusions de la Concertation Nationale des Acteurs Politiques, le gouvernement a décidé d’introduire un nouveau projet de loi sur les manifestations.