Togo-Sénon Hounsime satisfait du premier jour de grève dans les écoles publiques
Le Secrétaire général de la Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN) se dit satisfait de l’entame du mouvement d’humeur dans les écoles au Togo.
Le Secrétaire général de la Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN) se dit satisfait de l’entame du mouvement d’humeur dans les écoles au Togo.
Entre menaces et détermination, les enseignants au sein de la Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN) ont observé un débrayage au cours de la journée du mercredi 03 novembre 2021.
La Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN), est décidée à mener à terme son mot d’ordre de grève et ce, malgré les menaces brandit par les autorités du pays.
Après le ministre Gilbert Bawara de la Fonction publique, c’est au tour de son homologue Dodzi Kokoroko en charge des Enseignements primaires et secondaires de désavouer la grève de 48 heures prévue par la Fédération des syndicats de l’éducation Nationale (FESEN) à compter de ce mercredi 03 novembre 2021.
Bonne nouvelle pour les nouveaux bacheliers et les étudiants. Dans un communiqué, la Direction des Affaires Académiques et de la Scolarité (DAAS) précise la date du début des inscriptions à l’Université de Lomé.
Les 3 et 4 novembre 2021, le secteur de l’éducation togolaise sera un peu paralysé. Les enseignants réunis au sein de la Fédération des syndicats de l’éducation Nationale (FESEN) prévoient observer une cessation de travail de 48 heures. Au niveau du gouvernement, l’on brandit des menaces pour dissuader les grévistes.
Le mot d’ordre de grève lancé par la Fédération des syndicats de l’éducation Nationale (FESEN) les 3 et 4 novembre 2021 ne fait pas l’unanimité au sein des organisations syndicales du secteur de l’éducation au Togo.
La Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN) appelle les enseignants à observer une cessation de toute activité pédagogique durant deux jours, à compter du mercredi 03 novembre 2021.
L’annonce a été faite vendredi, par la Direction des affaires académiques et de la scolarité (DAAS), à travers un communiqué.
De tous les secteurs de la vie sociale de notre pays, celui de l’enseignement semble être le plus mouvant. Et c’est à raison. Le primaire, le secondaire de l’enseignement général comme technique et même professionnel, sont entre les mains d’une seule personne, le professeur agrégé de droit, Dodzi Kokoro, cumulativement avec la présidence de l’université de Lomé.