« (…) lorsque je suis sortie pour jeter l'eau avec laquelle j'avais lavé le bébé, j'ai entendu un cri strident venant du bébé. J'ai couru vers lui et là, imaginez ma surprise, sa sœur se tenait debout sur lui avec un couteau à la main ».
Une arrestation qui serait liée à un message audio « sur les affrontements qui se déroulent au Soudan entre les Forces de Soutien Rapide (FSR) et l’armée régulière ».
Saleh Kebzabo, le Premier ministre tchadien de transition, se retrouve au centre d’une affaire de harcèlement sexuel. La présumée victime est depuis lors introuvable. L’auteur de la publication de la lettre d’accusation interpellé.
Cependant, cette grâce présidentielle est prononcée en faveur de 380 rebelles du Fact, sur 400 condamnés mardi dernier. Le chef du groupe rebelle Mahamat Mahdi Ali et plusieurs autres combattants du même groupe en fuite et condamnés « par contumace ne sont pas concernés par cette grâce présidentielle », a précisé le porte-parole du gouvernement tchadien.
Le Tchad échappe aux sanctions du Conseil paix et sécurité de l’Union africaine lors d’une session extraordinaire, vendredi 11 novembre, à Addis-Abeba.
Une cinquantaine de morts et plus de trois cents (300) blessés. C'est le bilan provisoire du drame qu'a vécu le peuple tchadien le 20 octobre dernier, alors qu'il manifestait contre la prolongation de Mahamat Idriss Deby Itno à la tête du pays.
La répression meurtrière des manifestations contre la prolongation de Mahamat Idriss Déby Itno soldée par une cinquantaine de morts et plus de trois cents (300) blessés, indigne plus d'un. Dans un communiqué, vingt-six (26) organisations de la société civile d’Afrique dont le Front citoyen Togo Debout (FCTD) et Synergie Togo haussent le ton et exigent des sanctions ciblées contre les membres du gouvernement et autres personnalités responsables de cette situation.
La Francophonie déplore les violences qui se sont déroulées au Tchad le 20 octobre 2022. Dans un communiqué en date du vendredi 21 octobre 2022, elle appelle toutes les parties à la retenue et à privilégier la voie du dialogue.
Depuis ce triste jour du 13 janvier 1963 où Sylvanius Olympio fut assassiné, tous ceux qui ont essayé d´affronter la dictature en se mettant sur son chemin, furent impitoyablement éliminés. La liste de tous ces martyrs, assassinés d´une façon ou d´une autre, est longue. Les nombreuses tentatives depuis le début des années ´90 pour humaniser le pouvoir d´état et le rendre aux Togolais, n´ont pas pu résister à la terreur militaire, seule légitimité de la dictature du père en fils.