Freedom Togo-MLN s’oppose à la médiation de Faure Gnassingbé dans la crise RDC-Rwanda
Dans une lettre datée du 13 avril 2025, le mouvement Freedom Togo-MLN s’oppose fermement à la désignation de Faure Gnassingbé…
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Face à la dérive autoritaire du régime en place au Togo, la Diaspora Togolaise d’Allemagne (DTA) lance un appel solennel…
«…Le président Faure E. Gnassingbé est un habitué des violations de l’ordre constitutionnel pour perpétuer un pouvoir dynastique. Le 06…
A Monsieur le Président Monsieur le Président, je sais et vous aussi, vous savez que vos lobbies ont dépensé notre…
Lors d’une récente rencontre avec les militants de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) à Lomé, Jean-Pierre Fabre, figure de…
Dans un communiqué publié le 13 avril 2025, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) critique le manque de…
Le 12 avril 2025, le peuple gabonais a tourné une nouvelle page de son histoire, non pas en rompant avec…
Malgré les contestations de l’opposition togolaise et des organisations de la société civile, le chef de l’État togolais Faure Essozimna…
Le dernier grand soulèvement populaire des années 2017-2018 qui a provoqué le séisme politique au sein du pouvoir cinquantenaire et la feuille de route de la CEDEAO ont contraint l’homme du 05 février à accepter le retour à la limitation de mandats présidentiels après trois quinquennats passés au sommet de l’Etat. Et pour s’assurer d’une vie paisible après le pouvoir, le prince s’est taillé l’article 75 qui précise : « Les anciens Présidents de la République sont, de plein droit, membres à vie du Sénat. Ils ne peuvent être ni poursuivis, ni arrêtés, ni détenus, ni jugés pour les actes posés pendant leurs mandats présidentiels ». Naturellement, cette disposition a fait penser au commun des mortels que jusqu’en 2030 au plus tard, au terme de ses deux mandats supplémentaires ajoutés aux trois précédents, le président Faure Gnassingbé serait enfin repu des 25 années de règne pour enfin prendre sa retraite avec toute la protection garantie par l’article 75.
Le gouvernement togolais renforce sa lutte contre les violences sexuelles en milieu scolaire avec une application stricte d’une nouvelle législation. Désormais, les auteurs de viols risquent entre 10 et 25 ans de prison, peine portée à 30 ans lorsque la victime est mineure.