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Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), plusieurs personnes ont été auditionnées dans la journée de lundi 4 avril 2022 par le commissariat central de police de Tenkodogo. On retrouve l’ancien maire de Beguedo, Noro Bara, parmi les personnes auditionnées par
La bronca anti-française du Mali qui a conduit au retrait de la force Barkhane est-elle en train de faire florès au Burkina voisin ? Les premiers signes apparaissent, tant dans les rues que sur les réseaux sociaux.
Le gouvernement du Burkina Faso a rejeté les injonctions des dirigeants de la Communauté Economique des États de l’Afrique de l’Ouest, exigeant, encore une fois très maladroitement, la libération au plus tard le 31 mars passé du président Kaboré, et la présentation, le 25 avril prochain, d’un calendrier électoral détaillé.
Selon des témoins, plus de 20 personnes sont décédées au cours de l’attaque. Les blessés, estimés à plus d’une dizaine, ont été transportés à l’hôpital.
Selon l’AIB, des chiffres de la direction provinciale en charge de l’Action humanitaire du Bam, on note 118 000 déplacés internes à la date du 29 mars 2022, en raison de l’insécurité.
Son véhicule a sauté sur une bombe artisanale. L’accident, a indiqué l’AIB, a eu lieu au niveau de Boenga sur la route Dori-Kaya.
Une coalition d’organisations de la société civile burkinabé a organisé un rassemblement dimanche, pour demander la fin de la coopération militaire avec la France.
Le mercredi 23 mars 2022, il a pu démarrer. Pendant qu’il avançait vers à Ouahigouya des hommes armés ont tenté de l’attaquer. Ces derniers ont été neutralisés par l’armée.
Le bilan fait état d’importants dégâts matériels. Aucune perte en vie humaine n’a été rapportée.
Le bilan, a indiqué l’Armée, fait état de 13 militaires tués au cours des combats et 08 autres blessés. Plusieurs assaillants ont été tués également, d’après toujours l’Armée du Faso.