RDC-03 civils tués, des maisons incendiés par de présumés rebelles ADF au Nord-Kivu
Selon des journaux congolais en ligne, la société civile locale a annoncé la mort de trois civils durant l’attaque et cinq autres personnes faites otages.
Selon des journaux congolais en ligne, la société civile locale a annoncé la mort de trois civils durant l’attaque et cinq autres personnes faites otages.
A en croire les informations, il s’agit des civils tués par des combattants présumés du mouvement rebelle ADF. Ils avaient été faits otages par les rebelles dans trois villages, Bamande, Mongamba et Lolwa.
Le bilan fait état de 15 personnes tuées, dont une dizaine d’enfants et un soldat des Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC), a rapporté ce mardi Radio Okapi.
Des témoignages rapportés par la radio des Nations unies en RDC, des bandits armés se sont introduits au domicile de l’officier de police l’abattant devant sa femme.
Le gouvernement de la République Démocratique du Congo a annoncé mercredi 20 avril dernier l’augmentation des salaires des fonctionnaires et agents publics de carrière à partir de ce mois d’avril 2022.
Alors que les recherches se poursuivent pour retrouver d’éventuelles victimes, la mairie de Bukavu a, selon la source susmentionnée, indiqué ce bilan pourrait s’alourdir dans les prochaines heures.
Son corps, rapportent les mêmes sources, a été retrouvé pendu sur un arbre dans un champ dans le Nord-Kivu.
Un militaire incontrôlé des Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC) a ouvert le feu sur un camion de marchandises tuant cinq personnes. Ensuite, il a tué également son chef avant d’être abattu à son tour par son compagnon d’arme.
Selon la radio des Nations unies en République démocratique du Congo, la société civile locale a confié que ces personnes étaient tous des cultivateurs. Ils ont été tués par des présumés combattants du mouvement rebelle des Forces démocratiques alliés (ADF).
Vital Kamerhe, ancien directeur de cabinet de Felix Tshisekedi, le chef de l’Etat,, arrêté, jugé et condamné dans l’afaire de construction de maisons préfabriquées destinées aux militaires et politiques, pousse un ouf.