Dans un communiqué rendu public, l’armée togolaise reconnait sa responsabilité dans la mort de quelques enfants pris dans le feu de la lutte contre le terrorisme. Le décès de ces jeunes innocents est une grande tragédie, ça l’est davantage quand on apprend que c’est le fait d’une méprise.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15, le Togo aurait subi une nouvelle attaque djihadiste. Elle se serait produite dans le village de Blamonga dans la préfecture de Kpendjal.
The Togolese Armed Forces Chief of Staff confirmed on Thursday, July 14, 2022 that a plane had wrongly targeted civilians. Confused with terrorists on the move, seven civilians died and two others were injured.
Quelle est la cause exacte du drame de Natigou ayant provoqué la mort de sept enfants et fait plusieurs blessés dont des cas graves ? On connait désormais la réponse : une bavure militaire, reconnait le chef d’état-major des Forces armées togolaises (FAT). Le communiqué ci-après éclaire l’opinion.
Vingt-sept (27) cas des 669 personnes testées sont positifs portant le nombre total de cas positifs à 37745.
En vérité, tout le monde voyait bien que la thèse d’une attaque terroriste ne tenait pas. Les témoignages des témoins oculaires sur la présence d’une frappe aérienne, l’information sur l’acquisition des drones Bayraktar tb2 par notre pays, et même la relative discrétion du gouvernement suite à ce drame étaient autant d’indices sur l’erreur humaine.
Dans un communiqué rendu public mercredi, l’Association des victimes de la torture au Togo (asvitto) a exprimé sa conternation face au drame de Margba qui a occasionné le décès de sept (7) adolescents. Présentant ses condoléances aux familles éplorées, l’organisation dirigée par KAO ATCHOLI, exige du gouvernement togolais, l’ouverture d’une enquête indépendante parallèle à celle des FAT.
Après dix années d’attente, le Festival d’Aného renoue avec les festivités et cette fois, à la limite d’une nouvelle dynamique qui se meut au delà des frontières du Togo. Rebaptisé Festival International d’Histoire d’Aného (FIHA), la ville autrefois désignée sous le nom de « Petit –Popo » annonce à nouveau, les couleurs d’une fête pluridisciplinaire.
Pour marquer la Journée internationale de soutien aux victimes de la torture (célébrée chaque 26 juin), la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) a organisé ce mercredi 13 juillet à son siège à Agoè un atelier d’échanges auquel ont pris part des députés, des points focaux des ministres sur les stratégies de prévention de la torture, etc.
ProEnergie I et ProEnergie II, CIZO (qui signifie « allumer » en langue locale « Guin »), Projet d’Extension des Réseaux Électriques des Centres Urbains du Togo (PERECUT)… autant de projets d’électrification de la ville de Lomé et ses périphéries et l’intérieur du pays, notamment dans les milieux ruraux. Malheureusement, les Togolais ne voient pas les retombées de ces projets qui, pourtant, engloutissent des milliards injectés par les partenaires en développement. Conséquences, la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET) se retrouve coincée, incapable de répondre aux sollicitations des populations chez qui le courant électrique est devenu rare.
