Terrorisme : La réaction timide de la CEDEAO déchaîne les commentaires
Frappé par une attaque terroriste, le Bénin a vu la réaction mesurée de la Communauté Économique des États de l’Afrique…
Frappé par une attaque terroriste, le Bénin a vu la réaction mesurée de la Communauté Économique des États de l’Afrique…
Des habitants de N’Djamena, la capitale du Tchad, ont rapporté avoir entendu des détonations près du palais présidentiel ce mercredi…
En congrès ordinaire le samedi 30 novembre, le Syndicat national des journalistes indépendants du Togo (SYNJIT) s’est doté d’un nouveau…
La liberté d’expression et de presse est en question, depuis quelque temps, face aux restrictions manifestes et coups de boutoir, légitimés (sic) par le cadre légal d’exercice et le code de la presse. Le Collectif des associations contre l’impunité (CACIT) veut concourir à une amélioration du texte et donc à une jouissance pleine et entière de ces droits. Dans cette perspective, elle engage une campagne et entend déployer un plaidoyer.
La presse togolaise est en danger. C’est d’ailleurs une lapalissade. Pas besoin d’être un observateur avisé pour s’en rendre compte.
Le quotidien Liberté ne digère pas la sentence prononcée contre lui dans l’affaire du jeune tué par balle sur la route de Tabligbo. Le confrère compte faire appel de la décision de justice rendue en première instance.
Le quotidien Liberté est suspendu pour trois mois. Et ce, suite à l’affaire du jeune tué par balle sur la route de Tabligbo.
De quelles informations disposaient Pitalounani Télou et ses membres dont le mandat est terminé depuis le 09 juin 2021 avant d’oser tendre un courrier pour audition au Directeur de publication du journal “Liberté” ? La question mérite d’être posée.
La Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) continue de jouer son rôle de gendarme derrière la presse privée critique du pays.
Le Togo a connu ce weekend une explosion qui a fait 7 morts au nord du pays, dans une zone à laquelle la lutte contre le terrorisme a imposé un état d’urgence sécuritaire. Le Journal togolais “Liberté” a exprimé ses doutes sur le traitement opaque de l’événement et a été convoqué par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac).