Togo-Des membres d’un réseau de trafiquants d’organes humains aux mains de la Gendarmerie
Une investigation menée depuis le 24 décembre de l’année passée permet à la Gendarmerie nationale de démanteler un réseau de trafiquants d’organes humains.
Une investigation menée depuis le 24 décembre de l’année passée permet à la Gendarmerie nationale de démanteler un réseau de trafiquants d’organes humains.
La décision est prise. L’accès au marché sera conditionné, bientôt, par la présentation d’un pass vaccinal ou d’un test PCR datant de moins de trois jours.
Une partie (la plus importante ?) des membres du Syndicat national des transitaires mandataires du Togo (SYNATRAM-TOGO) réclame le départ de son Secrétaire général.
Le Chef de l’État togolais Faure Essozimna Gnassingbé a annoncé ce mercredi son voyage depuis hier, sur Banjul, Capitale de la Gambie, dans le cadre d’une visite officielle.
En championnat national de football de deuxième division, un stade a encore été le théâtre de violents affrontements entre supporters. Bilan : plusieurs blessés dont des cas jugés graves.
“Trois-cent-onze (311) guéris ont été enregistrés portant le nombre total de patients guéris de COVID-19 à 29378.”
L’opération qui aura lieu le 21 janvier 2022 permettra au Togo de lever 35 milliards francs CFA pour une maturité de 84 mois (7 ans) au taux d’intérêt de 5,8%. La valeur nominale unitaire est de 10 000 francs CFA.
Deux (02) Togolais se sont retrouvés dans les griffes de la police au Bénin, dans la commune d’Athiémé, annoncent les médias locaux, qui indiquent que les personnes arrêtées étaient activement recherchés au Togo pour meurtre et profanation de tombe.
Dans la matinée de ce mardi 18 janvier, des individus lourdement armés ont attaqué un client sortant de l’une des agences de l’Union togolaise de banque (UTB) à Lomé. Ils sont repartis avec plusieurs dizaines de millions de FCFA.
Dans le baromètre de la liberté de presse au Togo 2021 rendu public ce lundi 17 janvier, lors d’une conférence de presse organisée à Lomé, la capitale, le Patronat de la presse togolaise (PTT) déplore l’environnement de plus en plus restreint de la liberté d’expression.