Si dans un seul Collège d’enseignement général (CEG) de la capitale, il est fait état d’une gestion opaque sans aucun outil de vérification du ministère de l’enseignement primaire, secondaire et de l’artisanat, qu’en serait-il si on doit étendre le contrôle à tout le territoire national ? Est-il possible qu’au nom de la présidentielle de février 2020, des directeurs aient prélevé des sommes d’argent pour faire campagne ?