Au Togo, la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH) a lancé ce lundi 18 mars, une campagne de sensibilisation à l'approche des élections législatives et régionales. Une initiative qui vise à promouvoir le respect des droits civils et politiques tout en atténuant les tensions entre les acteurs politiques susceptibles de compromettre ces droits.
La décision de suspension des candidatures aux législatives et régionales annoncé par Elliott Ohin, le représentant statutaire du président de l'Union des forces de Changement (UFC), fait des remous au sein du parti
Sur la base de quels critères ce cautionnement a-t-il été fixé ? Pour les dernières législatives de 2018, cette caution était de deux cent mille(200.000) CFCA par candidat. Lorsque subitement, le gouvernement avance ce taux exagéré, pis à quelque 20 jours de la clôture du dépôt des dossiers de candidature, cela frise le mépris et des desseins inavoués. Pour certains, cela procède de l’élimination de potentiels candidats des forces démocratiques dont on connait toutes les difficultés surtout financières. Pour d’autres, c’est la recette magique pour le financement des élections sur fonds propres. Le pouvoir étant à cours de moyens depuis un moment pour la tenue de ces scrutins.
La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a lancé vendredi l'appel à candidatures pour les prochaines élections législatives et régionales du 13 avril 2024
Au Togo, l’organisation des élections législatives et régionales est prévue pour le premier trimestre de l’année 2024. Pour prendre en compte les exigences d’un processus d’élections multiples, le gouvernement, en conseil des ministres lundi, a donc décider d’apporter des modifications au code électoral en vigueur.