Le 12 juin dernier, l'opinion togolaise apprenait le meurtre d'une petite fille de 9 ans, nommée Josiane après que celle-ci ait été violée par un voisin âgé de 47 ans, actuellement détenu à la prison civile de Lomé.
Au Togo, la gente féminine du secteur de la santé est victime des cas de viol. Des infirmières en passant les sages-femmes jusqu'aux étudiantes en médecine, le mal suscite l'indignation auprès du Secrétaire général du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du Togo (SYNPHOT).
L’affaire de la jeune femme de 29 ans, Ornella Laine, décédée en couches le 08 octobre dernier ne laisse pas les citoyens indifférents. Si certains y sont allés de leurs commentaires déplaisants envers le personnel de santé du Togo, d’autres ont opté pour une approche citoyenne.
Le secrétaire général du Syndicat national des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT), tenait ce propos au cours d’une émission sur radio Victoire FM mardi. Au cours de son intervention, Dr Gilbert Tsolenyanu, a, encore une fois déploré le manque d’équipements dans les centres de santé du pays à l’heure de la pandémie.
C’est l’annonce faite sur Kanal Fm lundi, par le Secrétaire général du Syndicat national des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT), Dr Gilbert Tsolenyanu, qui est visiblement préoccupé la santé des journalistes togolais parmi lesquelles on compte nombre de décès ces derniers temps.