Samedi dernier à Dapaong, le ministre des Enseignements primaire et secondaire, Prof. Dodzi Kokoroko a tenu des propos « graves » à l'endroit des enseignants togolais qui réclament de meilleures conditions de vie et de travail.
Dans une déclaration, l’Alliance des Démocrates pour un Développement Intégral (ADDI) a réagi par rapport au bras de fer qui oppose le gouvernement togolais aux enseignants. Le parti du Prof. Aimé Gougé dézingue la gestion approximative actuelle du secteur de l’éducation. Bonne lecture.
Le bras de fer qui oppose le gouvernement aux enseignants, suite à la grève de 48 heures observée par la FESEN les 3 et 4 novembre derniers, n’a pas encore connu son épilogue. Surtout que le ministre de tutelle, Prof. Dodzi Kokoroko a révoqué au moins mille trois cent quarante-cinq (1345) directeurs d’écoles et entend prendre d’autres sanctions à l’endroit des grévistes.
Reçu vendredi dernier sur le plateau de la TVT, le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat, Prof Dodzi Kokoroko, s'est prononcé sur les dissensions qui interviennent dans le secteur de l'éducation notamment la grève des enseignants ainsi que la sanction infligée aux 1192 directeurs d’établissements du préscolaire et primaire public. Dans une interview sur la chaine nationale, l'autorité y fait le point.
Le ministre togolais en charge de la Fonction publique, Gilbert Bawara, a sanctionné six (06) enseignants dont une femme. Ceci, à travers 6 arrêtés personnalisés portant sanction disciplinaire.
Dans un communiqué rendu public, le Mouvement Martin Luther King (MMLK) condamne l'arrestation des membres du Syndicat des Enseignants du Togo. Le MMLK exige leur libération et l’arrêt des poursuites contre les autres membres dudit syndicat.