Accord Historique Renforce l’Alliance entre le Mali, le Burkina Faso et le Niger dans le Bassin du Sahel
Dans un geste sans précédent, le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont officiellement signé un accord trilatéral visant…
Dans un geste sans précédent, le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont officiellement signé un accord trilatéral visant…
À Lomé, Togo, le coût du maïs, un aliment de base pour de nombreux ménages, a atteint des sommets sans…
A un peu plus d’un mois d’importantes échéances électorales au Togo, l’effervescence habituelle entourant le processus n’est réellement au rendez-vous. Quelques témoignages recueillis attestent d’un désintérêt des populations à l’égard de ce double scrutin prévu pour le 20 avril prochain. Mais à qui la faute ?
A défaut de respecter le délai constitutionnel pour l’organisation des législatives, la CENI tient visiblement à éviter d’aller à l’encontre de la volonté de Faure Gnassingbé de voir ces élections se tenir avant la fin du mois de Mars 2023. La publication des dates officielles ne serait qu’une question d’heure.
Dès les premières heures qui ont suivi les feux ravageurs qui ont emporté près de 75% du marché d’Agoè-Assiyéyé, les responsables communaux, le gouvernement, les partis politiques et le Chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé lui-même, ont tous exprimé leurs compassions à l’égard des femmes, principales victimes. Communiqués et rencontres ont abondé. Cependant l’avenir de cette affaire, et par là celui des autres marchés demeurent incertains.
Le gouvernement togolais a réagi à l’incendie dévastateur qui a ravagé l’un des principaux marchés qui fournissent les populations d’Agoè-Nyivé, celui d’Agoè-Assiyéyé dans la nuit de ce jeudi 21 Décembre 2023. Les dégâts matériels sont énormes puisque plus de 75% du marché est réduit à néant.
Réuni en Conseil des Ministres hier Jeudi 23 Novembre 2023, l’exécutif togolais a examiné et adopté le projet de loi de finances, exercice 2024. Le montant connait une croissance de plus de 9% par rapport à la loi de finances rectificative 2023.
Comme un coup de tonnerre dans un ciel serein, l’information est tombée, actant un mini-remaniement du gouvernement de Victoire Tomégah-Dogbé. Une surprise d’autant plus que rien ne laissait présager cela, et que de toute évidence, les élections législatives attendues prochainement devraient après leur verdict, entraîner une recomposition du gouvernement.
Les togolais semblent s’habituer à boire le calice jusqu’à la lie au regard de la succession des crises sociales qu’ils endurent avec ténacité. D’ailleurs, ils n’ont aucune autre solution puisque les dirigeants, face à ces situations, se contentent de produire des communiqués qui au demeurant ne résolvent pas grand-chose.
Trois semaines après les élections générales marquées par d’importants dysfonctionnements, le président Emmerson Mnangagwa, réélu, a désigné son nouveau gouvernement lundi soir. Un cabinet qui suscite la colère de l’opposition et de nombreux critiques. Le chef de l’État y a placé des membres de sa famille et notamment l’un de ses fils.