Le besoin, au plan mondial, d'organiser la société et de conscientiser aussi bien les gouvernants que les peuples sur l'importance de certaines professions, ont poussé les nations-unies à adopter des journées dites mondiales dédiées à ces activités.
Jour après jour, le pouvoir togolais se radicalise dans un terrorisme d’Etat qui sème la terreur et la désolation chez les populations, en emprisonnant à tout-va, en déshumanisant les Togolais !
Sincèrement, je croyais que dans l'esprit de Noël, on allait libérer nos deux amis journalistes, surtout que l'outrage est supposé être commis contre des gens de Dieu.Finalement cette affaire dépasse l'entendement.
En avril 2012, on ne sait quelle mouche-tsétsé l’avait piqué, « Faurevi » s’était permis d’ouvrir la boîte de Pandore, affirmant qu’une minorité a fait main basse sur les richesses du pays.
L’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité de L’Alternative, Joël Egah de Fraternité et de l’activiste handicapé Fovi Katakou continue de susciter de la réprobation, même au-delà des frontières. Samedi 18 décembre, ce sont des organisations de la société civile qui ont fustigé ces faits et réclamé la libération de ces compatriotes. Ces organisations appellent « la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples à exhorter le Togo à se conformer à ses obligations légales en vertu des instruments internationaux et africains des droits de l’homme, tels que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ». Lire ci-dessous la déclaration conjointe rendue publique à cet effet.
Notre confrère et ami, Ferdinand Ayité a été interpellé jeudi par la brigade de recherche et d'investigation (BIR), sur plainte semble-t-il, de certaines personnes haut perchées de l'appareil directionnel de notre pays. Son binôme, Joël Egah avec qui il a co-animé l'émission incriminée, serait lui- aussi convoqué pour aujourd'hui vendredi dans le même bureau où le premier a été gardé la veille.
L’affaire a fait les choux gras de la presse la semaine dernière. Accusés pour diffamation aggravée, violation de l’intimité et associations de malfaiteurs dans une affaire de compteur d’électricité truqué par Sheyi Adébayor et placés sous mandat de dépôt, l’humoriste Gogoligo et l’artiste Papson Moutité ont été libérés moins de 24 heures après leur passage devant le juge. Ceci, sur une simple demande de libération adressée par l’ex-capitaine des Éperviers au Procureur de la République.
Dans un communiqué, le bureau du Conseil National des Patrons de la Presse (CONAPP) invite ses membres souhaitant déclarer leurs employés à la Caisse...
Lors d'un déjeuné ce mercredi avec la presse, l'ambassadeur des États Unis d'Amérique (USA) au Togo, Eric William Stromayer est revenu sur la situation sociopolitique et sanitaire du Togo. Le diplomate s'est prononcé également sur la dernière sortie du G5 invitant la DMK à rejoindre la table de discussion avec le pouvoir.