Au Togo, depuis les années 90, la lutte politique a été toujours marquée par une rivalité féroce entres les figures de proue de l’opposition. Ceux qui ont plus de militants sur le terrain, se croient plus crédibles, plus sérieux et plus puissants que les autres. Cette guerre leadership ne cesse d’affaiblir la lutte au grand bonheur du régime cinquantenaire.
Le premier responsable du Parti des Togolais rappelle à ses jeunes compatriotes que leur avenir ne sera construit qu’à travers leur engagement citoyen voire politique d’aujourd’hui.
Cette réflexion du président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio vient des nombreux scandales qui éclaboussent le régime cinquantenaire, sans qu’aucune procédure judiciaire ne soit enclenchée pour mettre hors d’état de nuire les prévaricateurs de l’économie togolaise.
L’affaire de détournement des centaines de milliards de francs CFA sur les commandes du pétrole au Togo par les Adjakly, révélée par le journal d’investigation « L’Alternative », connait depuis mercredi un rebondissement. Le rapport d’audit accable les Adjakly.
Depuis la semaine dernière, l’on apprend la tenue d'une consultation populaire lancée par les ambassades d’Allemagne, de France et de l’Union européenne au Togo. L'objectif est d’avoir l’avis des Togolais sur la « coopération » qu’elles mènent avec leur pays.
Face à cette image bien peu éblouissante de la presse togolaise ces derniers jours, Nathaniel Olympio du Parti des Togolais (Opposition) pointe le doigt à la responsabilité du chef de l’État Faure Gnassingbé sans l’avoir nommé.
Après plus de 27 dialogue infructueux au Togo, le régime de Faure Gnassingbé, dans la perspective des élections régionales, initie une fois encore des...