Le Togo est devenu une curiosité dans la sous –région en matière de la gestion de la pandémie à coronavirus. La plupart des pays ont rouvert leurs frontières à l'exception du Togo. Une situation qui aggrave la vie chère. Finalement, il a plu à Faure Gnassingbé et ses collaborateurs de faire un petit pas.
C’est un soulagement pour les associations de consommateurs, la société civile, dont le Mouvement Martin Luther King (MMLK) qui, avaient réclamé la réouverture des frontières aux passagers.
Alors que les frontières terrestres togolaises étaient fermées depuis mars 2020 dans le cadre de la lutte contre la Covid-19, le gouvernement a décidé de leur réouverture.
« Souvent, toute décision, même la mauvaise décision, vaut mieux qu’aucune décision » (Ben Horowitz). Lorsque Faure Gnassingbé avait les commandes de la CEDEAO en juin 2017, le premier acte qu'il a eu à poser en sa qualité de président en exercice de l'institution, a été d'effectuer une visite surprise au poste frontière d'Aflao, entre le Togo et le Ghana.
Cela fait un peu plus d’un an que les frontières terrestres sont fermées en raison de la crise sanitaire liée au Coronavirus. Une décision qui a considérablement impacté les activités transfrontalières.
