Le gouvernement togolais a inscrit dans la feuille de route 2020-2025 plusieurs projets de développement sanitaire notamment la construction de cinq hôpitaux modernes mère-enfant dans toutes les régions, dans le sillage de l'assurance maladie universelle.
Le Togo a éliminé le trachome, une maladie oculaire pouvant entraîner une cécité permanente, en tant que problème de santé publique. Selon un communiqué publié ce samedi 28 mai 2022 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) , la nation devient le quatrième pays du continent à être validé par l'organisation internationale comme ayant franchi le cap de l'élimination après le Maroc en 2016, le Ghana en 2018 et la Gambie en 2021
Vendredi dernier, ministre de la Santé, de l’Hygiène Publique et de l’Accès Universel aux Soins, Prof Moustafa MIJIYAWA, a annoncé par communiqué un nouveau cas de poliomyélite qui a été détecté dans le district de l’Oti.
La semaine dernière, le collectif des syndicats de la santé a rencontré prof Moustafa MIJIYAWA, ministre de tutelle. Devant l'autorité, les syndiqués ont exprimé leur ras le bol face au retard observé dans la mise en œuvre de "certains points urgents des recommandations du groupe de travail". Le collectif exige ainsi du gouvernement des réponses concrètes dans un bref délai sans quoi, le ministre sera "le seul responsable des conséquences du non respect de la parole donnée".
Grâce à un partenariat entre l'Institut national d'assurance maladie (INAM) et « un partenaire privé », le gouvernement veut donner corps au projet de construction de cinq(5) centres de soins mère-enfant sur le territoire. À raison d'un par région sanitaire.
Environ 1,6 million d’Africains sont morts, en 2015, du paludisme, de la tuberculose et des maladies liées au VIH. Selon l’Organisation mondiale de la santé (Oms), ces maladies peuvent être évitées ou traitées grâce à un accès rapide à des médicaments. Au Togo, dans les localités rurales, les médicaments manquent cruellement.
Comment endiguer ce phénomène qui s’est développé chez des praticiens hospitaliers en général, et particulièrement au CHU Campus ? La vente parallèle de médicaments au vu et au su de tout le monde, de jour comme de nuit est devenue une gangrène dont les victimes sont ceux-là même à qui ces produits sont revendus, les malades et leurs accompagnateurs.
Depuis jeudi, le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de l’Accès universel aux Soins, Prof Moustafa MIJIYAWA, a rendu public un communiqué dans lequel il invite deux agents de santé à regagner leur poste.