Plus les années passent et plus Faure Gnassingbé qui a fait le choix de s’éterniser au pouvoir comme son géniteur, sombre dans des dérives autoritaristes. Opposants, activistes, journalistes sont impitoyablement traqués, arrêtés et jetés en prison sans autres formes de procès. A la manœuvre, le Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC), la Brigade de recherches et d’investigations (BRI), des polices politiques de Faure Gnassingbé et bras obscurs des FAT, et la justice, le bras armé du régime.
Jean-Paul Oumolou est toujours détenu dans les locaux du Service Central de Recherche et d’Investigations Criminelles (SCRIC). Aux dernières nouvelles, l’activiste se porte très mal.
L’activiste Jean-Paul Oumolou, interpellé depuis une semaine à Lomé, est toujours détenu dans les locaux du Service Central de Recherche et d’Investigations Criminelles (SCRIC).
La Direction de la Police Judiciaire (DPJ) et le Service Central de Recherches et d’Investigation Criminelles (SCRIC) commencent par traquer les promoteurs des sociétés de trading au Togo, surtout ceux qui refusent de rembourser leurs clients. Certains dirigeants sont actuellement entre les mains de la Police.
Gérard Adja continue de dénoncer l’arrestation et l’emprisonnement « arbitraire » de son camarde Paul Missiagbéto. Le Vice-président du Mouvement Patriotique pour la Démocratie et le Développement (MPDD) condamne l’injustice dont est victime son « ami ».
Paul Missiagbéto, conseiller de l’ex-député Agbéyomé Kodjo n’est plus à la prison civile de Lomé. Il a été transféré au centre pénitentiaire de la ville de Tsévié.
Paul Missiagbéto, après avoir passé 18 jours en garde à vue dans les locaux du Service Central de Recherches et d’Investigations Criminelles (SCRIC), a été finalement placé vendredi dernier sous mandat de dépôt à la prison civile de Lomé. Dans un communiqué, le bureau national du Mouvement Patriotique pour la Démocratie et le Développement dénonce une « persécution politique » de ses membres. Il condamne la détention arbitraire de Paul Missiagbéto (cadre du parti) et interpelle la communauté internationale sur « les graves dérives quotidiennes » du régime cinquantenaire des Gnassingbé. Bonne lecture.
Arrêté depuis le 17 mai, Paul Missiagbéto est toujours en attente des chefs d’accusation retenus contre lui. Une situation que dénoncent les responsables de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK). Ils exigent sa libération.