Au Togo, la forte pénétration d’internet permet aux influenceurs de faire des réseaux sociaux de vrais plateformes de promotion. Les journalistes et activistes de la société civile en profitent pour faire entendre leurs voix.
Dans un communiqué, des Organisation de la société civile togolaise saluent la libération des 46 soldats ivoiriens, et interpellent, par la même occasion, Faure Gnassingbé sur le cas des prisonniers politiques togolais. Elles demandent au chef de l'Etat de procéder à la remise en liberté de ces détenus politiques.
La société civile togolaise se dit inquiète de la récurrence des braquages meurtirers au Togo. Un fléau dont sont victimes des enseignants selon l'entité. Tirant la sonnette d'alarme sur cette situation, des mouvements et organisations de la société civile rendent public un communiqué dans lequel les autorités sont interppellées.
Devant la presse mardi à Lomé, la « Coalition Lidaw » qui est un regroupement des organisations de la société civile togolaise récemment porté sur les fonts baptismaux a procédé au lancement de ses activités. Elle a dévoilé ses objectifs et formulé des « préoccupations » à l’endroit des gouvernants en vue d’une amélioration de la situation socioéconomique du pays. Dans sa déclaration liminaire, la Coalition dit qu'elle fera le nécessaire pour favoriser la réalisation de l'alternance au Togo. Lisez plutôt!
Les organisations de la société civile togolaise ne sont pas d'accord avec l'interdiction du meeting de la Dynamique Monseigneur Kpodzro, prévu pour le 25 juin 2022. Par communiqué en date du 24 juin, elles condamnent fermement cette "entrave à l'exercice des activités politiques" et invitent le chef de l'Etat togolais, Faure Gnassingbé à "laisser la DMK tenir son meeting".