Togo – Pourquoi la dictature des gnassingbé a-t-elle peur des manifestations qui la dénoncent ?
L’activiste togolais Ayayi Togoata Apédo-Amah dénonce dans une nouvelle analyse, la peur du régime Gnassingbé face aux manifestations, reflet de…
L’activiste togolais Ayayi Togoata Apédo-Amah dénonce dans une nouvelle analyse, la peur du régime Gnassingbé face aux manifestations, reflet de…
Le 16 juin 2025, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) du Togo a suspendu RFI et France 24 pour trois mois, invoquant des raisons de « stabilité institutionnelle » et d’« image du pays ». L’universitaire et activiste Ayayi Togoata Apédo-Amah dénonce cette décision qu’il juge arbitraire, antidémocratique et symptomatique d’un régime autoritaire cherchant à museler la voix du peuple et des médias indépendants.
L’ activiste togolais Togoata Apédo-Amah, a récemment lancé un vibrant appel à la vigilance sur les réseaux sociaux, dénonçant la présence d’opposants de façade” infiltrés dans le paysage politique togolais.
Pourquoi exiger que ces individus se prononcent en faveur du peuple ? Suite aux pressions sociales, certains artistes, hypocritement, ont timidement supplié pour demander la liberté d’Aamron tout en le faisant passer, insidieusement, pour un irresponsable. Ce faisant, ils pensent à leurs intérêts et aux prébendes dont ils sont coutumiers. Ils ne peuvent pas se permettre de cracher dans la soupe, car elle est bonne, la soupe !
À l’époque du COD 2, au début des années 1990, Savi de Tové s’égosillait dans les meetings de l’opposition en exigeant le départ d’Éyadéma dont il se moquait, accompagné par les rires du public. Après le massacre du Jardin Fréau par la sodatesque du dictateur, certains leaders ayant fui au Bénin, ont imaginé un truc complètement foireux: un gouvernement en exil dont Savi de Tové serait le premier ministre. Conformément à l’Acte 7 de la Conférence Nationale Souveraine, cette nomination revenait au Haut Conseil de la République dont j’étais le Rapporteur du Bureau. L’ancien premier ministre élu de la CNS, Koffigoh, ayant été récupéré par Éyadéma sans avoir eu la dignité de démissionner. C’est suite à cette odieuse trahison que l’idée d’un gouvernement en exil germa dans des esprits politiquement immatures. Quand arriva le courrier, le président du HCR. Mgr Kpodzro et le reste du Bureau hésitaient, douchés par l’expérience catastrophique de Koffigoh.
La récente désignation du chef de l’Etat Faure Gnassingbé par l’Union africaine comme médiateur dans le conflit opposant la République…
Avec l’installation d’un sénat, en ce mois de mars 2025, les propagandistes menteurs de la dictature ont trompété partout qu’il…
A-t-on le droit de sacrifier un peuple au nom d’intérêts géostratégiques ? La chute du tyran sanguinaire Bachar al-Assad en…
À la rentrée scolaire 2024-2025, le gouvernement a instauré une interdiction des téléphones portables dans les établissements scolaires, soulevant de vives critiques. L’univsersiataire prof Ayayi Togoata APÉDO-AMAHintervant sur le sujet, interpelle sur “l’absurdité” de cette censure et plaide pour une approche plus moderne et constructive.
Dans une nouvelle Tribune, l’Enseignant-chercheur, prof, Ayayi Togoata APÉDO-AMAH dénonce l’asservissement continu de l’Afrique par le capitalisme, exacerbé par le néolibéralisme et le néocolonialisme. L’universitaire critique les dirigeants africains qui adoptent des modèles imposés, conduisant à la faillite, à la dépendance et à la misère et appelle à une révolution de l’imaginaire, affranchie des liens néocoloniaux, pour rompre avec les paradigmes aliénants et proposer de nouvelles voies de développement.