Togo – Rentrée scolaire 2024-2025 : Divine optique insuffle une ambiance électrisante à Séko
En cette nouvelle rentrée scolaire, le phénomène de la vie chère continue de poser des défis importants aux familles les…
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En cette nouvelle rentrée scolaire, le phénomène de la vie chère continue de poser des défis importants aux familles les…
Face au tollé suscité par la hausse des prix du carburant décidée il y a cinq jours au Cameroun, le gouvernement s’est justifié devant la presse.
Au moins 263 personnes, dont 25 dans l’ouest du pays ont été arrêtées, a indiqué la police.
Alors qu’il est observé depuis quelques mois la baisse du prix de la farine de blé à l’international, au Togo la situation reste intacte. L’Association togolaise des consommateurs (ATC) s’en offusque et demande la révision à la baisse du prix.
Il n’est nullement pas exagéré de dire que, depuis des décennies, les salariés togolais tirent littéralement le diable par la queue pour tenter de joindre les deux bouts du mois.
Dans quelles conditions faut-il revaloriser le Salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig) au Togo? C’est à cette question que le député Gerry Taama, patron du Nouvel engagement togolais (NET) tente de répondre dans un style qui lui-même propre.
Que ce soit l’augmentation de 10% de la valeur indiciaire des salaires, l’indemnité de transport, la dotation additionnelle de la subvention aux produits pétroliers, ou au gaz domestique, les fonctionnaires aux gros salaires sont les plus soignés.
Beaucoup souhaitent que, dans le cadre de la lutte de la vie chère, le gouvernement plafonne les prix des fournitures. Ce qui est fait. Sauf qu’en réalité, sur le terrain, rien n’a changé. Ce que déplore ici l’homme politique Gerry Taama, député et président du Nouvel engagement togolais (NET).
L’activiste, dans l’une des publications sur les réseaux sociaux, souligne que le gouvernement doit prendre des décisions courageuses afin que les Togolais puissent faire face à la cherté de la vie en cours actuellement.
Parmi les dix mesures de Faure Gnassingbé, annoncées mi-septembre, figure une gratification spéciale à accorder aux parents d’élèves. Tout le monde ne pourra pas en bénéficier, selon le ministre de la Fonction publique.
Une dictature peut-elle se démocratiser elle-même et s´humaniser? Les tenants de la dictature, leurs lâches soutiens et profiteurs peuvent-ils tout à coup commencer par avoir un coeur pour leurs concitoyens, parmi lesquels ils voient en permanence des dangers à leur règne sans fin? Le dictateur Faure Gnassingbé, peut-il, comme par magie, se muer en bienfaiteur pour les Togolais dont plusieurs sont privés de liberté depuis longtemps, dont beaucoup ont dû quitter ce monde dans la violence et dans la souffrance pour des raisons politiques, sans oublier ces plusieurs dizaines d´autres, contraints à l´exil pour les mêmes raisons? L´humanisme, un coeur pour les populations dont on a la charge, la bonne gouvernance; toutes ces valeurs ne devraient-elles pas commencer par l´amour de l´être humain tout court, de son intégrité physique, et surtout de sa vie?
Vous êtes nombreux à me réclamer ce décryptage depuis plusieurs jours. J’avoue que cette sollicitation me fait plaisir. Ça veut dire que mon approche de la politique par la pédagogie donne des fruits. Merci.
Le gouvernement togolais vient de prendre, cette fin de semaine, une série de mesures sociales visant directement à aider les populations à faire face à l’inflation galopante. Si elles sont un bon début, ces mesures restent encore trop insignifiantes et doivent davantage intégrer les principaux besoins et cibler les couches les plus vulnérables. Ce dont elles sont encore, un peu trop loin. Décryptage et propositions.
Le phénomène de la vie chère préoccupe les populations qui ne cessent de « tirer la queue par le diable ». Surtout le prix du gaz butane qui est prohibitif au Togo, soit deux fois plus élevé que dans les pays voisins.
Carburant, péages, gaz, produits de première nécessité, matériaux de construction…les Togolais n’ont pas encore fini avec les impacts de la vie chère dont le plus prononcé est la flambée tous azimuts des prix des biens de consommation et services. Mais ils ne sont pas au bout de leurs peines, avec la rentrée des classes en septembre prochain. Ça sent le roussi avec la flambée des prix des fournitures sur le marché…
Que signifie la politique pour ceux qui gouvernent et dirigent le Togo? Je les invite à aller faire une formation sur la décentralisation et l´autonomie des communes et surtout sur la gouvernance politique, éducative, économique et monétaire en Allemagne auprès du gouvernement allemand, porté par le chancelier Olaf Scholz. Ce n´est pas de l´arrogance mais du bon sens et de la fierté objective. Une fois encore je suis façonné par ce grand pays, admirable et admiré qu´est l´Allemagne.
C’est compte tenu du contexte de la vie chère et des conséquences de la pandémie de coavid-19, entre autres, que cette université privée, créée il y a une dizaine d’années, décide de soulager des parents en permettant à leurs enfants d’étudier gratuitement.
Il est difficile de digérer l’augmentation des prix du gaz butane dans notre pays, un produit de première nécessité, lorsque dans notre environnement immédiat, des pays qui sont confrontés à des crises sécuritaires sévères et dramatiques avec des conséquences néfastes sur leur économie, arrivent à plafonner les prix du gaz chez eux.
Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Consommation locale demande aux Directeurs régionaux de commerce « de prendre des dispositions urgentes pour intensifier les contrôles sur les marchés, dans les boutiques et supermarchés » afin de lutter contre la spéculation. Trop tard, estiment certains disant qu’il n’y a pas une volonté politique devant aider la majorité des Togolais.
Les temps se suivent mais ne se ressemblent pas toujours. Le jour que le couvercle va sauter de lui-même parce que la marmite au feu ne peut plus contenir la chaleur intense qui se dégage depuis longtemps, alors ce jour-là, le gouvernement va se dire : “si on savait”. Mais cette phrase n´appartient qu´à ceux qui aiment prendre des risques inutiles et qui ne prévoient pas les conséquences fâcheuses de leurs actes. La colère du peuple est prévisible.
Denrées alimentaires, carburant, transports, produits divers de première nécessité, ciment…Les Togolais étaient déjà suffisamment saignés. Mais aujourd’hui, ce sont les prix du gaz butane que les gouvernants ont décidé de porter à la hausse. Une sorte de coup de l’assommoir pour des populations déjà éreintées. Du cynisme. Et cette décision devrait également impacter l’environnement.
Depuis sa formation à la mi 2020 et malgré sa composition dont on dit qu’elle est technocrate, les bourdes, les incohérences et les cacophonies se multiplient. Des décisions sont prises au-delà de tout cadre hiérarchique. Surtout en matière d’augmentation des prix des produits de première nécessité dont le carburant et le gaz. Et les ministres se contredisent allègrement ou se répandent en désinformation sur les médias traditionnels comme sociaux.
« Le vrai problème que nous avons, c’est la vie chère. Aujourd’hui, l’amélioration du panier de la ménagère constitue un défi. Il faut qu’on interpelle le gouvernement pour qu’il fasse mieux.
« Selon plusieurs sources et la police, au moins 27 personnes, dont 6 policiers et 21 civils ont été tuées, lors des manifestations anti-gouvernementales qui ont éclaté le mercredi 10 aout 2022. La police sierra-léonaise a annoncé qu’en dehors du bilan humain, plusieurs manifestants ont été arrêtés », a rapporté vendredi koaci.com.
Sauf surprise de dernières minutes, les prochaines rentrées scolaires devraient intervenir le 12 ou 19 Septembre 2022, pour ainsi dire dans à peu près un mois. Les conditions socio-économiques du Togo marquées par une spéculation sans frein provoquent d’ores et déjà une forte inquiétude auprès des parents d’élèves.
On le dit mais beaucoup n’y croient pas. La famine pointe à l’horizon et les céréales deviendront bientôt des denrées rares.
Plusieurs jours après l’augmentation des prix des produits pétroliers le 19 juillet dernier, le gouvernement annonce une mesure portant réduction des prix des passages au péage. Avec une diminution quelque peu sensible des prix pour les autocars et les autocars, soit de 500F pour la plupart des véhicules, et de 2000F sur les poids lourds à 8 essieux et plus.
Ceci afin « afin de soutenir le pouvoir d’achat des populations, en cette période d’inflation notable, liée à des phénomènes exogènes à notre pays », a indiqué mercredi le gouvernement.
L’Association togolaise des consommateurs (ATC) s’insurge contre l’attitude de certains togolais en cette période de vie chère. Elle dénonce la spéculation sur le prix du gaz de ménage et des transports.
Depuis hier, j’entends partout les jérémiades des Togolais devant une énième augmentation du prix des produits pétroliers. Ils disent qu’ils n’en peuvent plus, que le gouvernement veut les tuer, qu’ils ne sont plus loin du suicide, que l’enfer est mieux…
Les membres du Cadre permanent de concertation (CPC) ont discuté avec Kodzo Adedzé, le ministre en charge du Commerce, de l’Industrie et de la Consommation locale. Les échanges ont porté sur le phénomène de la vie chère.
Bien que le contexte social soit intenable pour beaucoup de Togolais, le gouvernement procède à l’augmentation des prix des produits pétroliers.
Le Salaire minimum interprofessionnel garanti communément connu sous le nom de SMIG a été revalorisé au Bénin. Cette décision a été prise ce mardi 26 avril 2022 au cours d’une rencontre entre le Chef de l’État Patrice Talon, les trois principales centrales syndicales et le patronat.
En tant que président de Cadre Permanent de Concertation, nous avions mis la lutte contre la vie chère au premier niveau de nos objectifs. Tout récemment, le gouvernement nous avait fait savoir que des initiatives étaient en cours et que nous allions les découvrir. C’est chose faite à présent.
Faure Gnassingbé, le chef de l’Etat a annoncé une demi-dizaine de mesures afin de permettre à ses compatriotes de mieux faire face à la vie chère.
Le panier de la ménagère est vide. Le travailleur togolais qui récolte un salaire de misère est déboussolé. La vie devient de plus en plus dure. Mais face à la situation, les gouvernants togolais restent inertes. Un comportement qui irrite les Femmes Pyramide qui, devant la presse hier mercredi, ont sonné la mobilisation, avec une interpellation au gouvernement.
Les pluies sporadiques qu’on a connu ça et là sur le territoire national ces derniers jours ne sont qu’un trompe-l’œil. Elles seront rares et la vie chère ira crescendo.
A partir de mi-octobre, les rues de Lomé seront bondées de manifestants réclamant que le gouvernement trouve des solutions rapides à la vie chère d’une part et soutenir le président de la Cour suprême d’autre part.
« A ce jour, le gouvernement est resté sourd aux nombreux cris de détresse des détenus et leurs familles », regrettent les Femmes Pyramide lors d’une conférence de presse qu’elles ont organisée ce mardi 28 septembre 2021 à Lomé.
Au terme d’une visite de terrain au Forum des Marchés d’Adjamé, le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, a annoncé le 2 juillet 2021 à Abidjan, la réactivation et le renforcement des actions du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère (CNLVC), en vue de mettre fin à l’augmentation excessive de certaines denrées alimentaires.
La Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) était devant la presse ce mercredi 16 juin 2021. Elle a pointé du doigt quatre (04) facteurs qui rendent la vie difficile aux Togolais déjà écrasés par le poids de la misère.